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avril 2018

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Au réveil ce samedi 28 avril 2018, il pleut des cordes. La grisaille ne m’empêche pas d’être motivé pour cette nouvelle journée sur le Printemps de Bourges.

Une fois le récap de la veille finit, direction L’auditorium pour la conférence de presse des Hyphen Hyphen.
Santa (Samanta Cotta) entre dans la salle de conférence comme un professeur de philo qui ferait une intéro surprise. « Le sujet du jour? Israël ou Palestine? » Line rajoute rapidement qu’elle fait des blagues comme ça quand elle est stressée. Promis bientôt on vous en montre plus de cet échange.

Après cette interview, on découvre Azure dans une ambiance lumineuse bleu reposante qui contraste avec les bass puissantes qui font trembler les murs et que l’ont entend à plus de 100 mètres à l’extérieur du bâtiment.

Malgré quelques problèmes techniques, l’artiste finit son set. Péroké prend le relais à côté avec un set moins minimaliste et beaucoup plus 60’s/70’s.
Gaël Faure passe à la scène Séraucourt. On abandonne nos oiseaux tropicaux (oui j’ai mangé un clown…) pour aller à la grande scène gratuite. On arrive trop tard, on a eu seulement le temps de l’entendre de loin en traversant le marché de rue.

Pendant le flow de T2i nous écumons les espaces ouverts au public. C’est agréable de profiter d’un concert tout en s’imprégnant de la ville.

Nous quittons la grande scène sur les premiers morceaux aux riffs vifs qui tranchent des District7 (t’étais pas du Bellay dans une vie ? ) avec les beats du rappeur.

Le samedi c’est définitivement la journée clubbing. Et pour pour aller clubber quoi de mieux que de commencer avec Bagarre.

Un OVNI emprunt de la musique des années 90 actualisée, survet Sergio Tachini, animé par la même envie : faire la fête et danser et ce, malgré des parcours atypiques et opposés

Bagarre est un groupe à découvrir. C’est le genre de groupe qui ne plait pas à tout le monde mais quand on voit à qui il ne plait pas je me demande si ça les dérange. Le groupe joue l’horizontalité. Chacun apporte sa touche de manière égale. La même énergie les traverse et attire un maximum de monde en très peu de temps. Les titres s’enchaînent, la foule ne se lasse pas. Béton armé fait bondir le centre la foule qui très rapidement va se retrouver couper en deux pour foncer sur les autres. Le chanteur, avec ces cheveux longs et noirs et son air de Jack White, termine allongé dans la foule pour « jouir » en scandant « j’irai bien niquer ta mère, mais je ne sais pas où elle habite. Mais je sais où est la bête ». Une phrase qu’on entendra régulièrement fredonner les festivaliers le reste de la soirée. Si vous avez l’occasion de les voir, faites le vite avant que tout le monde n’en parle!

Le W enchaîne avec Rone. Ce personnage (qui entre nous ressemble au cliché du petit geek) perché sur ses platines envois un set electro solide qui à mon goût aurait du se jouer plus tard dans la soirée. Mais la jeunesse locale apprécie que la Rock’beat party rentre directement dans le vif du sujet.

 

Hyphen Hyphen fait partie de mon top 3 des meilleurs prestations que j’aurais vu au PdB

Hyphen Hyphen ©David Poulain Photography

Le quatuor, rejoint par une nouvelle batteuse, présente son nouvel album qui va sortir prochainement. Avec un décor minimaliste composé de deux grand « H » qui changent de couleur et des néons en forme d’apostrophe, les Hyphen Hyphen occupent intégralement la scène. Ils n’ont pas besoin d’artifices pour faire un show grandiose. La voix de Santa est encore plus impressionnante que sur album. La complicité avec ses amis bassistes et guitaristes permet une véritable symbiose musicale. La batteuse, un peu en retrait (et qui n’était pas à la conférence quelques heures plus tôt) ) prend quand même plaisir à jouer. Cela donne envie de les voir dans quelques temps, quand les 4 auront l’habitude de jouer ensemble. Le set qui alterne Rock, Pop, Electro est parfait. On danse, on sautille, on guinche… Pour conclure la leadeuse finit au milieu de la foule après un slam. C’est plein d’énergie et le sourire greffé que nous retournons au 22.

On arrive pour Corinne avec sa choucroute à la Fran d’une nounou d’enfer version blonde et son disco phrasé typique de années 80. Le personnage totalement décalé m’amuse pendant son show.

On change de côté pour découvrir (une) Pépite. Décidément le retro 80 est partout. Une nostalgie d’une époque très souvent fantasmé s’empare vraiment de la scène française.

Ce qui me permet une bonne transition avec Minuit. Les enfants de Catherine Ringer et Fred Chichin sont les dignes héritiers de la scène 80’s anoblie par leurs parents. Il est très dur de ne pas les comparer à leurs géniteurs tant la ressemblance physique et vocale est proche. Il n’empêche que dans cette famille, on sait faire le show. La mère avait ouvert avec brio les festivités, ses enfants le clôture à merveille.

 

Minuit passé, on rentre sous une pluie battante qui après la chaleur des salles du 22 n’est pas suffisante pour nous refroidir. Enfin quand même un peu.

Demain dernier concert avec BigFlo et Oli. Le retour à la réalité va être dur après cette déconnexion printanière.

Photos Caro C

 

 

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the guilty affiche avant première club des 300

Présenté en avril 2018 au festival international du film policier de Beaune, The Guilty est un huis clos danois qui a su séduire la presse en remportant le prix de la critique. Réalisé par Gustav Möller, The Guity se distingue des autres thrillers du genre par la force de son concept et une réalisation impeccable, la presque totalité du film se déroulant au téléphone. Ayant eu la chance de le voir en avant-première grâce à une projection du club 300 d’Allociné, je vous livre mes impressions sur ce film saisissant.

 

Un contexte stressant et prenant

 

Avec une première scène montrant la routine téléphonique du héros, le film nous plonge directement dans le vif du sujet. Asger Holm, un policier de Copenhague assigné au 112, le centre d’appel de secours de la police, reçoit toute la nuit des appels de détresse, mais surtout dépanne les couche-tard aux aléas de leurs sorties alcoolisées. Sa soirée bascule quand il reçoit un coup de téléphone d’une jeune femme lui faisant comprendre qu’elle vient d’être kidnappée. Asger n’aura que son poste téléphonique pour tenter de la retrouver et de la sauver…

Dés les premières minutes, le ton est donné, Asger passe ses nuits le casque sur ses oreilles, entendant et comprenant plus que ce que ses interlocuteurs ne veulent bien lui donner comme indications. Particulièrement bien travaillés, le son et les sonneries de téléphones permettent une immersion rapide et sensorielle. Les multiples bruits au bout du combiné sont omniprésents et nous aident à comprendre la réalité de son métier ainsi qu’à nous immerger complètement dans l’histoire.

Ces quelques premières minutes nous donnent aussi quelques indices sur le personnage central qui portera le film du début à la fin. Ancien inspecteur, on se doute quAsger a été placé au centre d’appel contre sa volonté, il cherche à se racheter d’une manière ou d’une autre, et du moins à s’échapper de sa condition d’employé téléphonique. On le voit las, énervé et mal à l’aise par sa situation, avant qu’un ultime coup de fil ne le fasse plonger dans une affaire qu’il prendra personnellement sans tenir compte des procédures standards de la police.

 

Une mise en scène complexe dans peu d’espace

 

asger dans the guilty

 

Le film se déroule donc de bout en bout au téléphone, on frissonne avec Asger, on attend, on a peur. Le cadrage très serré sur son visage nous indique ses pensées à chaque seconde. Ses silences nous en apprennent plus sur sa psychologie que ses paroles. Les dialogues primordiaux dans ce genre d’exercice sont excellents, on devine, on perçoit à demi-mot.

Le film, à petit budget, se déroule dans deux pièces distingues, la première suréclairée où Asger évolue avec ses collègues et la deuxième, sombre, ou il cherche seul, à l‘abri des regards et des oreilles, sa rédemption dans cette croisade qui semble perdue d’avance. Dans cette deuxième partie du film, Iben la jeune femme kidnappée devient un  personnage plus central, véritable écho d’Asger. Le stress monte, notre claustrophobie dans cette pièce sans lumière augmente autant que celle d’Asger, obligé de rester devant son écran, impuissant physiquement, littéralement incapable  d’aider et d’intervenir.

Les attentes, les sonneries sont brillamment gérées, on se surprend à taper des doigts sur notre siège en espérant que le téléphone soit décroché. La tension monte au rythme de révélations au même titre qu’un sentiment détestable de culpabilité face à la situation. Car à l’instar de son titre, c’est bien la culpabilité le véritable liant entre les personnages. Les actions de chacun dérapent, les protagonistes tentent de se rattraper malgré des combats personnels difficiles. Et c’est peut-être le dernier plan qui nous révèle le plus l’un des ressorts de cette soirée d’angoisse : s’évader de sa culpabilité… au téléphone.

Malgré quelques longueurs à la fin, The Guilty est un film policier qui sait prendre le spectateur avec lui pour l’emmener dans cette enquête à distance. Grâce à l’utilisation intelligente du téléphone qui nous permet de nous projeter dans les scènes, mais aussi de dissimuler des indices visuels, le film nous dévoile autant qu’il cache certaines vérités pour mieux nous surprendre ensuite. On saluera également le jeu d’acteur impressionnant de Jakob CEDERGREN qui nous fait croire durant cette heure et demie à cette course contre la montre. Un très bon moment de cinéma.

 

The Guilty sorti prévue le 11 juillet 2018.

Plus d’avant-premières? Découvrez notre critique de « L’île aux chiens »!

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affiche du champs élysées films festival

Fans de musique ET de cinéma? Sortez vite vos agendas! En effet, le Champs-Elysées Film Festival revient dans la capitale du 12 au 19 juin 2018!

Au programme une compétition de films mais pas que! En effet, après une bonne projection ce festival aux multiples dimensions vous invite à faire la fête avec des artistes qui pèsent dans le game comme Radio Elvis, Faire ou encore French 79... On vous en dit plus.

 

 

Côté cinéma déjà:

 

 

Cette année se déroulera la 7ème édition de ce festival qui a pour but de mettre en avant la diversité du cinéma français et du cinéma américain. L’édition 2018, elle souhaite se focaliser sur l’indépendance. Pour se faire, le festival s’est paré d’un invité d’honneur de choix puisque c’est le réalisateur, acteur et écrivain John Cameron Mitchell qui a été choisi. C’est d’ailleurs son film « How to talk to girls at parties » avec Elle Fanning et Nicole Kidman qui ouvrira l’événement. Et de quoi ça parle? Que bonnes choses qui donnent envie: 1977 : trois jeunes anglais croisent dans une soirée des créatures aussi sublimes qu’étranges. En pleine émergence punk, ils découvriront l’amour, cette planète inconnue et tenteront de résoudre ce mystère : comment parler aux filles en soirée…

 

 

Ok, mais tu m’as aussi parlé de musique non?

 

 

 

 

Oui, j’y viens grand fou! Comme dit plus haut, le Champs-Elysées Film Festival voit les choses en grand et promet de belles soirées de live avec la crème de la scène indé parisienne. Puisqu’en musique aussi l’événement a choisi de miser sur les indépendants pour séduire. Logique. Du coup showcases et DJ sets se succèderont pour vous faire danser jusqu’au bout de la nuit.

 

En pratique la soirée d’ouverture se tiendra à la Maison du Danemark le 12 juin et mettra Faire à son affiche.

La suite aura lieu sur le Rooftop du festival ( voilà qui promet) et proposera de découvrir les performances de John Cameron Mitchell & Karls Plank en DJ set ( le 13), Radio Elvis et Piège à garçon (le 14), Vendredi Sur Mer, Aloïse Sauvage et Piège à Garçon en DJ set ( le 15), Tim Dup et Raphaëlle Lannadère ( le 16) et Pépite le 17 pour conclure en beauté.

 

 

Et comment on fait y aller à ces showcases?

 

 

Pour s’y rendre une seule solution, être porteur de l’accréditation illimitée ( à 49 euros et 35 pour les moins de 26 ans) qu‘on peut se procurer ici. 

Ensuite il faudra se rendre sur le rooftop de l’immeuble Publicis de 22 heures à 1 heures du matin ( avec une tenue correcte s’il vous plait). Attention les soirées d’ouverture et de clôture nécessitent d’être en possession d’un pack soirée d’ouverture e de clôture qui donnent accès à la cérémonie, à un film, et super nouvelle à un open bar. Allez go!

Envie d’autres sorties parisiennes? Tu peux tenter le Phonomuseum à Pigalle  ou faire un saut au quai Branly pour en apprendre plus sur les fantômes asiatiques. 

Après nous avoir fossé compagnie au printemps 2017, le Chorus des Hauts-de-Seine avait néanmoins pris possession de la Seine Musicale, nouveau lieu situé à Boulogne-Billancourt , dès l’hiver pour promettre un retour en force et en forme au printemps 2018.

 

Bien loin de son lieu central habituel, le parvis de la Défense, c’est cette fois-ci en salle que le festival prenait un nouveau départ. Exit aussi les concerts dans de nombreuses villes des Hauts-de-Seine, comme le veut la tradition. Perdurent les concerts gratuits sur le parvis de la Défense et l’esprit d’un festival ouvert à toutes les musiques et à tous les festivaliers. Lors du pot du président en ce samedi 7 avril, la question s’est posé « En changeant un événement comme celui-ci de lieu, perd-t-on son essence? » Réponse.x

 

Le samedi au Chorus c’est soirée électro!

 

On a de la chance ce samedi 7 avril. Le soleil a accepté de pointer le bout de son nez. Il est là depuis hier, il sera parti demain. Il a peut-être voulu assister aux performances de Her, Hyphen Hyphen ou encore Cabadzi X Blier plus tôt dans la journée. C’est surement pour ça, il est sage le soleil. Une programmation comme celle-ci ne se manque. Il faut absolument voir ces artistes sur scène au moins une fois, surement dix fois.

 

Le must seen de ce soir a lui aussi son univers propre.  Il s’agit de la chanteuse Ayo. La queue devant l’Auditorium n’en finit plus. Les vigiles sont formels: tout le monde ne pourra pas rentrer dans la salle avant le début du spectacle. Arrondie, en configuration assise, ce lieu moderne accueille doucement la masse de festivaliers et d’officiels aux rangs réservés pour applaudir la belle qui débarque pieds nus sur scène. Guitare et piano en main, c’est avec une voix remarquable que la musicienne diffuse ses mélodies enivrantes, dont les premières notes évoquent un Leonard Cohen et son « Hallelujah ». Si son discours rappelant que la musique est le langage universel séduit l’assistance, dans la grande salle c’est une tout autre ambiance: Panda Dub envoie en effet un électro soutenu.

 

La nuit n’est pas encore complètement tombée mais les basses tabassent déjà face à un public déjà chaud bouillant. Ca se déchaine, ça danse, ça fait des selfies et des grimaces une bière à la main. Ce n’est que le début.

festival chorus haut de seine 2018 seine musicale

Pourtant, s’il ne fallait retenir qu’une prestation de ce samedi soir au Chorus, ce serait sans aucun doute celle de Nasser. Ambiance: nous sommes dehors, il fait enfin beau, le mois d’avril a accepté de donner une soirée de chaleur aux parisiens avant de faire à nouveau tomber la pluie. Deux stands de boissons et de ravitaillement sont disponibles. Côté public, ça danse franchement collés à la scène, au loin, quelques festivaliers grignotent un morceaux, la plupart du public, plutôt jeune danse pourtant franchement.  Sur scène, le rock et l’électro se mélangent et cohabitent. Les instruments font écho aux mixes, en arrière fond une bouche rouge géante fixe la salle de son écran. Devant les musiciens donnent tout et n’hésitent pas à faire participer le public. Impossible donc de rester insensible à cette belle énergie sincère et ces morceaux d’une efficacité redoutable. On en redemande! Pourtant, il faut savoir avancer.

 

Masqués, les compères de The Bloody Beetroots les relaient rapidement sur la Grande Scène. Encore plus fort, encore plus déchaînés, rien ne semble pouvoir les arrêter. Les voilà qui grimpent partout pour sauter encore plus haut. Les morceaux se succèdent alors que les mélodies empruntent au rock le plus fou. Véritable concentré d’énergie scénique, le groupe fait grimper la température du Chorus. La salle est folle, les musiciens sont eux-même fous.  Du premier au dernier rang, ça saute partout à l’instar d’un combo qui semble infatigable. The Bloody Beetroots est vraiment à voir en live, du festival nous voilà plongés en boite de nuit, la version folle, celle qui s’intéresserait à la musique et pas forcément à la drague.

festival chorus des hauts de seine seine musicale

Alors que Faada Freddy s’apprête à succéder à Ayo, Weval eux investissent le club Tutti, petite scène intimiste du fond de la Seine Musicale. Tout ça commence doucement, tellement doucement que dans un premier temps, la foule préfère s’asseoir pour profiter des morceaux et puis le rythme s’insinue et transporte les festivaliers qui renaissent d’un bon. Il n’est pas l’heure de dormir, il est l’heure de faire la fête.

 

La preuve, Vitalic conclut avec un peu d’avance cette soirée endiablée. Un set digne d’une tête d’affiche dans la lignée de cette soirée de folie. Il ne faut pas mentir Chorus a changé, son atmosphère n’est pas la même. Pourtant cette seconde naissance promet son lot d’éditions mémorables pour les années à venir. Après tout le festival a 30 ans, et loin de se résonner, de se normaliser, de ne plus parler à la jeunesse il lui offre une nouvelle façon de célébrer la musique. Le changement peut avoir du bon si on n’oublie pas ses racines. Et celles de cet évènement sont si fortes qu’il sera difficile d’en faire abstraction.

 

Photo: Kévin Gombert

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