Jeu Concours » The Climb »! Les cinémas ont enfin ré-ouverts, il est donc temps de s’y ruer pour faire le plein de bons films qui, il faut le dire, nous ont beaucoup manqué durant le confinement.
C’est d’ailleurs ce que l’on vous propose de faire aujourd’hui ! En effet, Popnshot en partenariat avec MENSCH Agency vous proposent de remporter vos places pour assister à une projection de « The Climb ». Réalisé par Michael Angelo Covino, il sortira le 29 juillet 2020 dans l’hexagone et promet de séduire un large public. Sa réputation le précède puisque la critique ne tarie pas d’éloges à son sujet et qu’il a déjà su conquérir le festival de Cannes et le festival de Deauville où il remportait respectivement le coup de cœur du jury pour le premier et le prix du jury pour le second. Humour et modernité seront au rendez-vous.
The Climb, de quoi ça parle ?
Kyle et Mike sont deux meilleurs amis aux tempéraments très différents mais dont l’amitié a toujours résisté aux épreuves de la vie. Jusqu’au jour où Mike couche avec la fiancée de Kyle… Alors que l’amitié qui les lie aurait dû être irrémédiablement rompue, un événement dramatique va les réunir à nouveau.
Comment participer au concours ?
Vous souhaitez tenter votre chance et peut-être remporter vos places pour la séance de « The Climb » de votre choix dans la salle de cinéma de votre choix ? Rien de plus simple ! Commentez cet article avec le #TheClimb en nous disant pourquoi vous souhaitez gagner.
Vous avez jusqu’au 2 août minuit pour tenter votre chance. Vous pouvez également augmenter vos chances de gagner en jouant sur nos réseaux sociaux, Twitter, Facebook et Instagram en commentant nos posts et en réagissant avec le #TheClimb. Bonne chance à tous !
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Si à l’époque du cinéma muet, les femmes tenaient une place importante, devant comme derrière la caméra, dans le 7ème art aux Etats-Unis (comme en témoigne l’œuvre de Lois Weber, par exemple), l’arrivée du son en 1927 a littéralement bouleversé les codes. En effet, les principaux acteurs de cette transformation étaient des hommes et ils se sont ainsi octroyé une place de choix dans cette industrie florissante, relayant les femmes au 2nd plan voire à l’anonymat.
Depuis, scénaristes, productrices, réalisatrices, actrices… œuvrent pour mettre en lumière la discrimination dont les femmes sont victimes à Hollywood : caricatures (hyper-sexualisées), harcèlements, violences, abus de pouvoir… et bien sûr, sous-représentation professionnelle.
Réalisé par Tom Donahue (« Casting by », 2012), « Tout peut changer » est un documentaire fort qui s’appuie sur des données chiffrées (issues notamment de l’Institut Geena Davis sur les rapports entre les sexes dans les médias et le divertissement) et des témoignages accablants de nombreuses voix d’Hollywood telles que Meryl Streep, Cate Blanchett, Natalie Portman, Reese Witherspoon, Sandra Oh, Jessica Chastain, Chloë Grace Moretz, Shonda Rhimes, ou encore Geena Davis, également productrice exécutive du film.
Mais au-delà d’exposer l’étendue du problème, « Tout peut changer » appelle également et surtout à passer à la vitesse supérieure pour que des changements majeurs se mettent en place et pas seulement à Hollywood ni aux Etats Unis mais dans le monde entier. Et ces changements ne pourront intervenir que si les hommes prennent position, s’engagent enfin.
Harvey Weinstein et tous les autres
A l’ère des #balancetonporc, #meetoo et autres mouvements sociaux encourageant les femmes à dénoncer les nombreuses discriminations et autres abus dont elles sont victimes depuis des décennies à travers le monde, ce genre de documentaires devrait être légion !
Découvrez la bande annonce de Tout peut changer
Pour continuer le débat, découvrez les réactions du public
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Depuis maintenant 20 ans, le Festival des Cinémas Différents et Expérimentaux de Paris organisé par le Collectif Jeune Cinémamet à l’honneur la forme et la recherche esthétique et technique à travers un cinéma subversif : le cinéma expérimental. L’occasion de revoir ses préjugés sur ce genre largement marginalisé.
20 ans de souvenirs en quelques rétrospectives
Vingt ans de festival, le moment parfait pour revenir sur des oeuvres majeures des auteurs qui ont façonné les premières heures du genre comme les collages de Stan Brackage lors des séances périphériques mais aussi l’occasion de soutenir la nouvelle génération sélectionnée en compétition.
Le Collectif Jeune Cinéma vous invite à des séances hors norme qui font chanter à nouveau le cliquetis d’un projecteur 16 mm.
Une édition placée sous le signe du déchet
Déchets et rebuts sont le point central de la sélection des films projetés. Une manière de revenir sur l’histoire du genre, né d’essais artistiques par la transformation de la matière. Un thème qui offre un véritable parallèle avec un sujet de société à la place grandissante : le recyclage.
Traité de manière métaphorique ou au sens premier du terme, l’indésirable est dans toutes les oeuvres et pose une véritable question sur le lien entre esthétique et réception : le beau est-il nécessaire pour qu’une oeuvre plaise à son public ?
Brisons les préjugés
Les plus sceptiques d’entre nous seraient bien étonnés de découvrir un cinéma percutant ou les images valent mille mots. Un cinéma qui à l’étrange pouvoir d’être plus politique encore qu’aucun autre.
La séance périphérique « Focus #3, vache, cochons, mouches et papiers » en est sûrement le meilleur exemple. Elle s’ouvre avec « Stock Exchange Transplant » de Douglas Collins qui en 1969 déjà dénonçait le revers impitoyable de Wall Street en filmant le lieux jonché de papiers et de déchets une fois la torpeur évanouie. Puis le film « Resurrection » de Daniel Spoerri et Tony Morgan (1969) qui retrace à l’envers le parcours d’un steak, débutant dans nos toilettes, passant dans nos assiettes, puis à la boucherie, à l’abattoir et aux champs, un film qui à provoqué des rires gênés, qui fonctionne à merveille grace à la simplicité des scènes filmés et dont le sarcasme nous force à la comparaison avec notre propre mode de consommation.
Et la séance de se terminer sur une oeuvre majeure du documentaire expérimental : « L’Ile Aux Fleurs » de Jorge Furtado, critique de la société capitaliste (disponible sur YouTube pour les plus curieux d’entre vous).
Un gros coup de coeur
Le Festival se veut aussi le relais d’un cinéma expérimental contemporain ce qui nous à permis de découvrir un film coup de coeur : « Rouge » d’Alice Heit tourné en 2012 avec une caméra Super 8 qui retrace l’histoire d’une jeune femme qui tombe enceinte accidentellement et qui avorte. Un film dont les images viennent titiller la curiosité du spectateur mais dont le propos glace le sang.
Extrait de « Rouge » d’Alice Heit
La voix-off susurre l’expression d’une intimité la plus profonde : la peur, le trouble, dévoile les idées saugrenues qui peuvent nous parvenir quand nous sommes perdus face aux décisions à prendre.
La musique au piano, au métallophone, à la guitare et au Kalimba soutiennent une ambiance pesante. L’image joue avec le noir et blanc, puis les couleurs, travaille la matière : les liquides, les éléments naturels. L’image déforme les visages, déconstruit les corps, les dévoile sans crainte, sans pudeur.
Extrait de « Rouge » d’Alice Heit
Le film se veut sincère et agit comme une véritable percée dans l’intériorité de cette femme dont Alice Heit dépeint l’histoire avec bienveillance et attention.
« Rouge » ainsi que les autres films d’Alice Heit sont disponibles en intégralité sur le site de l’artiste : https://aliceheit.com/cineaste/films-en-ligne/.
Le festival qui se tiendra du mardi 9 octobre 2018 au 14 octobre 2018 débute avec une rétrospectives des oeuvres qui ont marqué les 20 premières éditions et propose de nombreux rendez-vous au Grand Action parmi lesquels des focus, 6 séances de projections des oeuvres en compétition, des projections de films de lycéens et des séances pensées pour le jeune public.
Pour obtenir le programme complet, on vous donne rendez-vous sur le site du Collectif Jeune Cinéma.
Du 7 au 22 avril 2018, en parallèle de l’exposition Enfers et fantômes d’Asie au musée du Quai Branly – Jacques Chirac, se déroulera Fantômes d’amour et de terreur…