C’est Halloween, non pas qu’on se prive à l’année pour vous parler avec amour du cinéma d’horreur, simplement, voici une bonne opportunité de se lâcher et de créer encore plus de contenu à ce sujet.
L’année dernière, nous vous proposions 31 films d’horreur méconnus à regarder sans plus attendre. Cette année, forts de tous ces visionnages intenses, nous vous proposons de vous transmettre des règles d’une importance capitale pour survivre à un film d’horreur. Si par hasard, comme ça, vous en étiez un personnage. Parce que ça peut vous arriver à tout moment, on le sait bien. Voici donc un petit guide non exhaustif pour vous assurer d’être la finale girl ou le final boy de votre équipe.
NDLR: Attention, ne pas réaliser chez vous si vous n’êtes pas attaqués par un personnage horrifique.
Que faire si le grand méchant de votre histoire est un vampire?
Commençons facile, avec un petit piège. Un vampire, dans un film d’horreur. Vous en avez vu beaucoup récemment? Et bien non! Pourquoi? Parce que les vampires ne font plus peur. Ils ressemblent maintenant à des animaux en peluches qui quand ils se la jouent badass, portent un blouson en cuir (merci Damon de Vampire Diaries) ou zozotent presque sans honte en étant couverts de maquillage blanc (hello ShadowHunters), voire pire brillent à la lumière comme Edward Cullen de Twilight. En 2018, parler de vampires ressemble finalement plus à une longue liste de mes plaisirs coupables. Pourtant, dans le cinéma, le vampire a été fut une époque, un objet effrayant tirant en bonne partie sa légende du Comte Dracula et du célèbre roman qui lui est consacré de Bram Stoker. Pour la petite histoire, il est par ailleurs inspiré du prince Vlad Tepes de Roumanie, un homme fort cruel qui punissait toute infraction d’une peine de mort par empalement. Ouch. Mais pas seulement puisque ce prince d’une cruauté sans fin torturait ses victimes avec beaucoup de créativité: brûlure, étranglement, mutilations, ablation des yeux, du nez, des parties génitales, enterrements vivants, toutes ces joyeusetés lui ont valu le surnom de Dracula signifiant le diable en langue valaque.
Voilà pour la petite histoire, quelques vampires, à commencer par le très noble Entretiens avec un vampire d’Anne Rice ou plus récemment le discutable 30 jours de nuits peuvent rester des ennemis de taille.
Comment leur survivre:
1/ Vous avez à faire à un Edward Cullen, n’ayez crainte, il ne mange que des animaux, c’est certes discutable en fonction de vos pratiques alimentaires mais ça vous promet d’avoir la vie sauve. Cela dit s’il tombe follement amoureux de vous, fuyez, vous risquez d’être condamnés à la vie éternelle, avec un personnage certes beau gosse mais d’un ennui mortel et d’être mère et mariée avant même votre majorité. Mère d’un enfant qui grandit super vite qui plus est a été conçu par un puceau de 140 ans (c’est vraiment dans l’histoire, c’est angoissant.) Changez de ville, prétextez la peur pour votre entourage ou une allergie à la pluie.
2/ C’est un vrai vampire : pour le tuer il faut lui planter un pieu dans le cœur, le décapiter ou pour le blesser considérablement lui faire boire le sang d’une personne déjà morte. Si vous êtes pris au piège, n’oubliez pas que les vampires sont extrêmement forts et rapides et qu’en cas de morsure, vous pourrez toujours avoir droit à la vie éternelle.
Que faire si le grand méchant est un zombie?
Un peu d’histoire le zombie désigne un personnage désincarné, ne possédant plus son humanité, adoptant un comportement violent et étant très contagieux. Il nous vient du folklore africain et notamment d’Haïti et sert à qualifier les victimes de sortilège vaudou permettant de ramener les morts à la vie. Selon Zora Naele Hurston, écrivaine et folkloriste américaine partie à Haïti pour enquêter sur le cas Felicia-Felix Mentor, une femme décédée et pourtant errant toujours sur son lieu de vie 30 ans après, les véritables zombies seraient des personnes sous psychotropes privées de leurs volonté.
Dans le cinéma c’est autre chose. De La nuit des morts-vivants de l’incontournable Georges Romero à The Walking dead, Hollywood nous a appris ceci: zombie = contamination de masse. Souvent utilisés d’ailleurs pour être une métaphore des problèmes environnementaux ou de la lutte des classes. « Land of the dead » en est un exemple criant tout comme The Girl with all the gifts. Le problème avec les zombies c’est qu’ils agissent toujours en très grand nombre, vous sautent dessus et vous dévorent vivant. Ouais, un zombie a de super dents.
Comment survivre?
Déjà ne vous alliez pas aux riches survivants qui choisissent de refaire une classe d’élite comme si le problème n’existait pas. Non, mauvais plan. De prime à bord ça ira pépouze pour vous et vous continuerez à vous gaver de champagne mais à la longue un putch vous mettra en bas de la chaîne alimentaire où vous vous ferez massacrer. Le mieux étant de vivre caché avec un tout petit groupe de personnes de confiance, n’amenez pas d’inconnus à votre équipe, ils vous feront tuer. Si votre mère, fils, meilleur ami se fait mordre, abrégez ses souffrances, achevez-le, il en va de votre survie. Quittez les villes évidemment, puisque apparemment, mort ou pas, le zombie semble aimer son espace urbain, sa proximité avec les commerces et les transports en commun. Si vous êtes attaqués, apprenez à viser et tirez toujours dans la tête. Néanmoins, ne vous faites pas d’illusion, vous n’avez qu’une seule possibilité de rester en vie durablement: qu’un brillant chercheur trouve un vaccin. Ou que Brad Pitt et Will Smith soient de vrais scientifique. Dans le cas contraire, vous êtes en situation de fin du monde. Et tôt ou tard ça sera la fin pour vous.
Et si le grand méchant de votre histoire est une sombre épidémie?
Pas de chance dans Le Fléau de Stephen King à Mayhem, en passant par It comes at night, Hidden, Blindness ou l’excellent Infectés, les films d’épidémies nous apprennent que pour survire à la dite épidémie, il y a peu de solutions: être immunisé miraculeusement contre la maladie ou avoir très bien su s’en protéger en vivant par exemple dans une maison isolée du monde réel. Si vous êtes le personnage central d’un film d’horreur vient néanmoins une bonne nouvelle: en début de pellicule vous n’êtes pas contaminé. Ouai, trop bien, la fiesta, je crache pas des glaires chelous qui m’étouffent toute les deux secondes jusqu’à ce que je meurs, trop bien. Erreur mes petits chats, on se calme. Le vrai danger en cas d’épidémie n’est jamais la maladie. Quoi sérieux mais ça avait l’air vachement sale là avec les furoncles qui piquent et tout! Et oui! Le véritable problème dans chacun de ces cas, c’est l’homme, l’humain qui sans règle devient cruel pour survivre.
Cruel à quel point me demanderas-tu? Au point de se faire un garde-manger humain comme dans »La route » qui n’est pas à proprement parler un film de contaminés mais joue des mêmes codes, de créer une dictature humiliante comme danq Blindnesss et de violer et tuer sans cligner de l’œil comme dansInfectés et ce même les enfants. Que faire alors me demanderas-tu et c’est normal. Comme tout le monde, je te recommande de prendre la route pour trouver un lieu non habité, de t’y cacher, de t’armer jusqu’aux crocs, d’éviter toute forme de contact avec un inconnu qu’importe qui il est, de tirer lors de tous comportements suspect, de cacher ton lieu de vie… néanmoins et comme pour les zombies attends toi à être emmerdé, seul un scientifique talentueux et pas mort du gros nez qui coule pourra stopper l’épidémie.
Et si le grand méchant est un tueur en série masqué/ caché?
Bébé tu as touché le gros lot! Félicitations, de tout ce qui pouvait t’arriver, c’est le truc le plus cool. Déjà, si tu es confronté à ce genre de personnage c’est que tu es un jeune adolescent. Si tu ne l’es pas, chercher l’adolescent dans ton entourage qui t’a amené dans les griffes de ce tueur en série. Auquel cas, pour te simplifier la vie, tu peux donner l’adolescent au tueur et hop, problème résolu.
Si tu es l’adolescent en question, voici quelques notions simple: si tu es une fille, sois sexy mais pas trop. C’est sexiste et moyen? Certes mais Rose Mc Gowan ne survit pas à Scream, Paris Hilton non plus dans La maison de cire. Plus tu es bimbo et frivole et plus tes chances de survie sont minces. Tu es un mec, tu aimes fumer des pétards, tu parles de cul, tu es un peu le rigolo de ta bande? Tu es tellement mort! Sauf dans le cas d’une suite, auquel cas tu seras tellement mort dans l’acte 2. Évite donc de picoler, de tourner en ridicule la situation, d’autant plus que tu connais forcément l’assassin et que toi et ta bande de pote avez du lui faire quelque chose de pas très sympa, il y a fort fort longtemps genre il y a déjà deux ans. Si tu sens que le tueur tourne bizarrement autour de ta meilleure pote, n’attends plus, embrouille la, vous n’êtes pas si proche et tire toi en vacances le temps que ça se calme. Sache également que l’assassin est toujours derrière toi, que non il n’y a pas un problème de fusibles, on a bien éteint les lumières et que les grosses teufs sont toujours l’occasion d’un bon massacre tout comme les ballades en forêt. Reste armé(e), le tueur est humain et au bout d’un certain nombre de balles il devrait crever.
Et si c’est un tueur particulièrement sadique qui aime utiliser des pièges?
Bien qu’il ne soit pas le seul, hello Evil Twin narnar de mon cœur et The Collector, Saw est le plus célèbre représentant du tueur aux nombreux pièges. Si tu es face à Jigsaw, déjà c’est pas normal, le mec se traîne un cancer en phase terminale depuis maintenant 10 ans et il est déjà mort. Mais bon admettons qu’en fait se soit un de ces très nombreux poulains. Parce que le mec il torture des gens mais ça a ouvert des vocations. Le petit gars aux nombreux principes, il a donné de sacrées leçons de vie à ses survivants qui maintenant trouvent ça rationnel, cool et normal d’apprendre la vie aux gens en les mutilant. Passé ce hobbie atypique, il faut aussi vous rappeler que votre ravisseur a énormément de pognon pour trouver des lieux désaffectés et y créer des pièges élaborés pour s’y venger tranquillement de sa dernière vexation. Dans le cas de Saw, elles sont si nombreuses qu’elles mériteraient à elles-même un petit listing histoire de bien les garder en tête. Ma préférée doit rester à ce jour la fois où l’assureur à refuser à Jigsaw de financer son traitement pour son cancer. Normal me direz-vous, s’il n’a pas les moyens de se soigner. Non, les scénaristes ont choisi de mettre cette réplique dans le film « L’argent n’est pas un problème, c’est une question de principe. » La première règle pour y survivre est donc de ne pas vexer cet individu qui se vexe même si vous trompez votre petit ami qu’il ne connait pas. Soyez droit, ne doublez pas dans une queue de supermarché, ça peut être fatal… Malgré tout, vous pouvez aussi être la victime pour donner une leçon à la vraie victime. Exemple, avec notre assureur qui choisi à qui il accorde un remboursement des soins. Le choix lui est donné « Tu veux sauver ton nouvel assistant qui est jeune mais vient d’arriver en ville et donc est seul (vidéos en noir et blanc pour prouver le propos de Jigjig- c’est vraiment dans le film ça ne s’invente pas) ou ta secrétaire plus vieille qui a des enfants ICI (vidéos en couleur avec sa famille à l’appuie). » Le choix est à peine orienté.
Si vous êtes une victime collatérale, pas de chance, fallait être sociable. Dites un truc gentil à votre patron, ne vous énervez pas, pleurez à chaudes larmes, ça peut passer peut-être. Si vous êtes au contraire la victime choisie, ne jouez pas au malin, faites ce qu’on vous dit, mutilez vous un peu, à la fin vous verrez que tous les pièges ont été pensé pour que viviez et alliez vous-même mutiler un proche qui aurait un jour piqué la dernière chips à l’apéro. No stress.
Le grand méchant de votre histoire est un esprit
Bandes de petits veinards, on ne se refuse rien. Un ou des esprits, une maison/ hôpital/ x lieu hanté, voilà qui n’est pas le pire qui pourrait vous arriver. Ah bon? Et pourquoi ?
1/ Déjà vous avez la certitude qu’il y a une vie après la mort et qu’elle consiste à trainer dans une vieille baraque en faisant des bruits chelous. L’eau-delà ressemble grave à un dimanche de cuite, je vous le dit.
2/ Les esprits étaient des vrais être-humains avant et donc il y a de grandes chances qu’ils ne vous tuent pas, non ils veulent juste raconter leur histoire.
La première option, la plus sympa est que votre copain esprit aie subit une mort longue, pénible, qu’il veuille en parler et se faire venger. Prenez un long congés et partez en road trip découvrir comment il est mort, la vengeance de sa mort vous libèrera, peut-être, sûrement sauf en cas de suite. Ou si le tueur est un proche parent et que donc vous êtes l’objet de cette vengeance. The Ring nous apprend néanmoins que de toute façon certains esprits torturés veulent juste tuer pour le fun, tout comme The Grudge qui ne laisse aucune chance à ses proies. Conjuring en revanche promet de pouvoir s’en sortir. Là où Hunting of Hill House et la première saison d’American Horror Story proposent de nouvelles options que personne ne spoilera ici.
Vous pouvez également tomber sur l’esprit d’un tueur en série, ce qui n’est pas forcément la meilleure des nouvelles. Ce genre de sinistres personnages restent néanmoins dans les lieux qu’ils hantent. Le mieux à faire est de vider les lieux et de s’enfuir vite. Si tu as un enfant qui te dit « papa, maman, la nuit y’a un monstre dans le placard qui vient me chatouiller les doigts de pied » évite de jouer au con en répondant » Non bébé c’est toi qui a retourné le placard même si tu as trois ans et que tu ne touche pas l’étagère du haut. » Si c’est ta pote qui te dit « Je vois le fantôme d’une petite fille » arrête les « Mais non Gisèle, tu pète un plomb » Dis toi que soucis il y a et que si soucis il y a le mieux à faire c’est de se barrer. Comme dans le très mauvais final d’Amytiville, l’horrible dernière version en date, on ne crache pas sur l’original. De même si le barman mort de l’hôtel désert dont tu t’occupes en ce moment parce qu’en traversant la rue y’avait que ce poste de dispo, te raconte qu’il faut que tu massacres ta famille à la hache, ne lui dit pas « Bonne idée. » Barre toi de là, fais plongeur comme tout le monde, comme tu te la pètes là à avoir des ambitions dans la vie et des diplômes, en 2018 on ne choisi plus sa carrière.
Le grand méchant de votre histoire est un démon
C’est la putain de merde mon pote, t’es trop foutu! Un démon te suivra partout, il ne te lâchera pas et il emportera ton âme en enfer. Le grandiose Jusqu’en enfer, L’Exorcisme d’Emilie Rose et même le mitigé Paranormal Activity n’ont offert aucune solution à part peut-être faire appel à tous les représentants possibles de toutes les religions et d’exorciser autant que possible. Pour Regan, ça fonctionne à peu près dans l’Exorciste, pour les autres ce n’est pas trop ça. Une brin d’espoir? Le très très risible Annabelle proposait une alternative : sacrifier ta voisine un peu trop sympa au démon en y allant à la grosse culpabilité » Non, c’est pas que ça nous dérange d’aller en enfer mais c’est que ça nous arrange si tu saute du 7ème étage avec la poupée, c’est pour le bébé tu comprends, sinon on aurait pu le faire. » Il faut revoir cette scène avec cet œil absolument « Je me sacrifie je vais sauter, je n’ai rien à perdre » crie la voisine « C’est bien aimable. » répond le couple. Enfin des experts du paranormal peuvent aussi donner un coup de main comme dans Conjuring 2 et son fameux « C’est bon démon, je connais ton nom, casse toi ou je le dis. » Les démons, ils ont vachement honte de leurs noms apparemment. Attention! Méfiez-vous de votre entourage, les voisins et villageois son souvent potes avec le démon, on se souvient tous de Rosemary’s Baby…
Le Grand méchant de votre histoire est un / des aliens
On pense à X-Files, ses théories du complot sans fin et les aliens sont moins pris au sérieux. Erreur, Extraterrestrial ou encore Honeymoon nous montrent bien que les petites bêtes venues de l’espace peuvent être très dangereuses. Notamment lors de leurs envies de vous enlever pour pratiquer des tests sur votre faculté à ressentir des émotions et en plus quand vous pensez vivre, voilà que le gouvernement vient nettoyer la zone. Les aliens ont le pouvoir d’arrêter le temps, de vous paralyser, mais ils restent mortels. Tirez dans le tas comme des gros rednecks sans compassion, ne vous enchaînez pas au lit pour lutter, fuyez les lieux au moindre doute, n’appelez pas les autorités qui vous feront taire façon homme à la cigarette. Ne sous-estimez pas leur nombre, les arrêts du temps, les comportements changeant, les promenades nocturnes dans les bois et les paralysies du sommeil sont vos ennemis. Pour vous en sortir, faites appel à un club d’accrocs aux théories du complot et médiatisez votre histoire. Les petits hommes gris aiment se la jouer discrets.
Le Grand méchant de votre histoire est un monstre/ une créature
Dans leurs majorité, les monstres et autres créatures appartiennent à un espace. Un monstre marin façon Un cri dans l’océan par exemple ou le requin à trois têtes ne vient pas vous emmerder sur la terre ferme, aussi dans ce cadre, comment s’en sortir, la réponse coule de source, restez au sec.
S’il s’agit d’un pote de Freddy Krueger, chacun d’entre eux à son point faible. Freddy lui peut-être tué si vous le ramenez dans le monde réel. Michael Meyers, Jason Voorhies, tueurs masqués oui mais si humains, peuvent être décapités histoire de gagner quelques années d’espérance de vie avant leur retour.
Les créatures de The Descent, elles ne sortent pas de leurs grottes alors de façon général, évitez de découvrir des lieux. Ca se la pète au début et puis très vite on finit mangé. Bien souvent, elles ont leurs faiblesses, elles n’entendent pas ( comme dans Pas un bruit) ou son aveugles, il peut ainsi être facile de s’en cacher.
Pennywise lui-même a besoin de se nourrir de la peur et réagit très mal à son absence et au courage. Restera donc à trouver le point faible de votre croque-mitaine.
Vous être la victime d’une de vos ancienne victime de viol/ tentative de meurtre
Tout comme dans I Spit on your grave, vous êtes l’objet d’une femme ou d’un homme que vous avez violé, torturé et que vous aviez laissé pour mort.
Comment s’en sortir? Et bah crève Emile L (*), t’as déconné franchement personne ne pleure devant le petit écran en regardant ta mort. Tu peux éviter ça en suivant dès à présent une thérapie contre tes pulsions violentes.
(*): nom fictif, toute ressemblance avec une personne ayant existé n’est que pur coïncidence
[/wc_posts