L’info what the fuck? du jour est tombée. Et elle nous vient directement de l’AccorHotels Arena ( Bercy pour les intimes) à Paris.
Evitons les banalités d’usage, à Paris des concerts il y a en partout, tout le temps. C’est une excellente chose. Ca permet de laisser place à la découverte et de faire la part belle à la culture. Seulement voilà au milieu de l’énorme offre, il est parfois difficile de faire sortir certaines propositions du lot.
Certains répondent par plus d’affichage, d’autres se défendent sur les réseaux sociaux et d’autres encore cherchent à révolutionner le concert tel qu’on le connaît et de lui offrir un nouveau format. Parmi les idées qui ont vu le jour, on a pu découvrir les siestes acoustiquesavec – et c’est important- des sets prévus pour l’occasion. On a également pu découvrir des concerts aquatiques et dans des piscines, des concerts au casque pour n’en citer que quelques-uns…
Des idées bienvenues puisque la musique peut être appréciée de bien des façons. Et voilà que l‘AccorHotels Arena a décidé d’ajouter sa petite touche d’innovation en offrant à ses spectateurs la Suite 345. Qu’est ce que c’est que ce…? Et bien c’est une loge transformée du 22 au 26 février 2018 en suite luxueuse de 50 m2. De là tu pourras assister à ton concert en profitant d’une vue plongeante sur la scène, d’un catering, du room service, du petit déjeuner et tu l’auras deviné… d’un lit. Bon bonne nouvelle tu as le droit d’inviter 14 de tes potes à venir mater le concert pépères allongés avec toi dans une chambre d’hôtel. Pas d’odeur de fosse, de transpiration et l’impression de te mater un bon gros DVD chez toi parce que parfois sortir de son lit c’est difficile et fatiguant et que quand on va en concert c’est pas pour être fatigués.
Mais devant quels concerts auras-tu la chance de te taper une sieste en te gavant?
Que des grosses têtes d’affiches: Kendrick Lamar, DJ Snake et Imagine Dragons. Quand on te dit « Grosse teuf ce soir au concert de DJ Snake! » Tu réponds » En petit comité et avec un plumard » 😉
Mais si cette expérience atypique te tente, sache qu’elle est entièrement gratuite. Pour jouer il suffit de se rendre sur le site Welcome Fans.
Si jamais tu es le gagnant, viens nous raconter peut-être qu’en vrai c’est une opportunité super cool. Après tout concert gratuit + catering + potes ça parait super sympa. C’est l’intervention de ce lit qui me..enfin.
Si on demande à We are the Line ses influences, aucun doute, ils devrait citer Depeche Mode. Avec des accents électros, le groupe s’inspire pourtant d’univers variés…
Nous sommes le 5 février 2018 et c’est un grand jour.
Le groupe de Feu! Chatterton nous a en effet convié à faire un tour dans son studio de répétition pour se faire une petite écoute en avant première de quelques titres de son nouvel opus à paraître.
La suite de la soirée? Quelques verres et des mac and cheese dans un pub pour parler musique, séries TV, voyage et beignets d’oignons.
Nous, c’est un petit groupe de 4 blogueurs musique, des passionnés curieux de voir ce que la tornade Feu! nous réserve pour la suite. Ainsi RocknFool,Vague Parallele, La Bande Sonore et PotesCast, tous d’excellents médias que je vous conseille très très fortement ( allez-y vite), était de la partie pour une soirée qui allait laisser un souvenir impérissable. Souvenir comme le titre du premier extrait du nouvel album de Feu! Chatterton que tu peux écouter ici. ( tiré du manuscrit les « Jeux de mots pour les nuls »)
Le studio en lui-même, situé dans un local blindé de références à la pop culture et d’une énorme représentation de Super-Man, est assez petit ( conviviale, chaleureux, étroit, pas grand, limité en place, cosy, à taille humaine mais pour un nombre limité d’humains).
Nous voilà donc les uns à côté des autres aux milieu des instruments, prêts à se glisser au cœur d’une répétition. Et c’est une expérience tellement surréaliste, tellement intime, qu’elle en est forcément magnifique. Silencieusement, nous voici invités à voir tâtonner et créer. Voici donc qu’un groupe rodé et superbe en live, tente timidement d’appréhender ses nouveaux titres.
Voilà maintenant cette bande de perfectionnistes qui cherche à créer ce que le grand public verra sur scène. Le sourires s’échangent, « on fait comme si vous n’étiez pas là alors.. » Et c’est parti. « L’oiseau », « Souvenir », les deux premiers morceaux interprétés coulent de source. L’idée de jouer « Ginger »se réfléchit. Les questions se posent, « Sinon on refait un morceau du premier album. » non mais non, ce ne serait pas jouer le jeu, aller « Ginger » mais pas en entier hein? Quoi que… Les notes s’enchaînent, toutes et le titre prend vit sous nos yeux (oreilles) sans les faux pas redoutés.
L’ivresse
« Si on allait boire des verres! » Cette sommation est accueillie avec joie par l’assistance. Fini le stress, on apprendra d’ailleurs plus tard que le groupe ne savait pas vraiment qu’il allait devoir interpréter en live ses nouveaux morceaux, bonjour les discussions. Entre le studio et le bar, les langues se délient avec facilité. Une journée entière en studio pour nos petits génies de la chanson française, n’aura pas suffit à satisfaire les perfectionnistes qu’ils sont. « On aurait bien aimé boire des verres vers le Batofar, confie Arthur, mais voilà les quais sont inondés. » Comme si les éléments n’étaient pas suffisamment contre nous, ce soir là, il neige sur Paris. La ville prend alors des accents poétiques tout comme la musique de Feu!. Ce froid c’est également l’occasion pour Arthur et Raphaël de se remémorer le « pire concert » du batteur. Le groupe était en effet invité à jouer à Tignes dans les montagnes en plein hiver… en extérieur. » J’ai dû jouer comme un bourrin pour pouvoir tenir mes baguettes, c’est bien loin du jeu que j’aime avoir avec Feu! » s’amuse-t-il à raconter.
Dans le pub, il fait bien meilleur, le groupe prend place sur une grande table en bois sur ses chaises affreusement hautes. quand on est petits.
« What do you want to drink? » demande la serveuse. « A Ginger beer! » répond une grande partie de la tablée, en clin d’œil au dernier morceau écouté. » Tu es à l’aise avec l’anglais Arthur? » » Moyennement je connais mieux l’espagnol mais j’avais peur d’être mal poli si je lui répondais en français. » L’espagne, tiens, c’est justement là qu’est parti notre chanteur cet été. Mais pas que. Un voyage à Naples au hasard, réservé sur un coup de tête parce que c’est vers là que partait son bateau espagnol et les souvenirs de moments passés à Grenade, dans l’Alhambra et dans la ville sont évoqués. L’Italie, l’Espagne, tant de destinations qui lui évoquent l’enfance et sa douceur. C’est en déambulant là-bas que s’est écrit » L’oiseleur », le nouvel opus de la formation. C’est au cour de déambulations solitaires qu’il prend des notes rapides, des photos écrites en quelque sorte qui alimentent les textes de ses chansons. Les voyages fascinent notre nouvel ami, il rêve de tournée au Japon et en Russie, raconte l’Équateur, l’image qu’il s’en faisait et la réalité qu’il y a découvert.
Il est facile de discuter avec l’équipe. Diplômés de grandes écoles, leur parcours atypiques donnent naissance à des sujets sans fins. Clément qui a fait Maths Spé et qui vient de passer un doctorat en physique se lance dans une longue discussion sur le clonage. « C’est impossible à réaliser un véritable clone, parce que même avec le même code génétique, l’environnement est un facteur déterminant. Rien ne peut aujourd’hui faire que deux personnes clonées soient identiques. » Scientifiques nos discussions? Pas seulement. C’est « Stranger Things » qui a retenu son attention ces derniers temps, puisqu’aujourd’hui la SF ne le fait plus rêver. Elle part de constats moroses, ses histoires se terminent mal. Avec la douceur qu’on connait à la formation, le discours tenu par Raphaël pourrait rappeler sa musique, celle qui fait chaud au cœur.
Après avoir mangé quelques nachos et des mac and cheese, mais pas d’oignon rings ils étaient du mauvais côté de la table, une pose cigarette s’impose. D’ailleurs tiens, pour amadouer Arthur qui a vécu au Mexique, rien ne vaut une belle assiette de nachos au cheddar. Le chanteur en prend une dans sa bouche mais ne l’allume pas. « J’ai arrêté de fumer. » Oui mais, pour autant la cigarette c’est bien le seul moment durant lequel notre société nous autorise à ne rien faire. » Maintenant quand je rêvasse à ma fenêtre sans ma cigarette, il y a une certaine légitimité qui se perd. »
Les verres s’enchaînent, une nouvelle tournée permet de se réchauffer et de se mettre à l’aise. « Vous avez regardé ‘The Fucking end of the world’? c’est vraiment top », Oui oui ça l’est. Des phrases se chevauchent et se croisent, conseils artistiques, analyses et souvenirs de rencontres passées avec le groupe, de concerts… « Allez voir le dernier ’50 Shades of Grey’ la meilleure comédie involontaire de ce siècle. » reste pourtant le conseil le plus sage donné ce soir-là.
Les heures passent trop vite et il faut déjà penser à partir. Reste la musique pour se Souvenir de ces jolis moment. Ca et puis l’impatience de voir en live les premiers pas dont nous aurons eu la chance d’être témoins. Tant pis pour les oignon rings, si rien ne marche plus Arthur se lancera dans la fabrication de mac and cheese en Ecosse. Ou pas, aucune chance que ce nouvel opus ne soit pas un carton. Feu! Chatterton a bien l’intention de vous permettre de voyager à travers la beauté et la poésie. Avec la douceur de l’enfance aussi haut que volent les oiseaux.
Feu! jouera au Bataclan le 9 avril prochain. Une bonne occasion de contempler le résultat des ces répétitions.
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Dans la chanson, le texte c’est quand même vachement important. Tu peux t’identifier aux paroles, les écouter en boucle et les apprendre. Tu peux aussi profiter de certains morceaux pour te défouler, cracher sur ton ex, sur la routine, pleurer en musique. Tout ça c’est bien cool certes. Basique, simple, comme dirait Orelsan.
Ok mais les paroles de chansons ça peut aussi être l’occasion d’inviter un connard à « s’étouffer avec un tampon », de lui dire« Je te pisse dessus », de parler à l’amour de ta vie ou de ta nuit pour lui dire que tu « veux le baiser » ou de dire au monde que « faire l’amour c’est trop facile, quand on baise faut des bassines ». Et tout ça, ça fait quand même vachement de bien. Encore plus d’ailleurs quand les musiques qui accompagnent ces morceaux sont qualitatifs.
Du rock modernes aux vieux classiques, du rap à l’électro, découvre notre playlist vulgaire. A écouter en soirée, ou quand on te casse les couilles dans le métro, à écouter quand tu veux rire ou que le monde entier ressemble à une plaie purulente. Découvre le monde merveilleux des jolis textes de Therapie Taxi, Vald, Mai Lan, Odezenne, La Pieta, Yelle, Borgore, Gainsbourg et bien d’autres…
Chante des saloperies, la vie est trop courte pour bien parler!
La playlist Vulgaire
Et en bonus cadeau, si par hasard tu connais pas, passe te faire un kiffe surBooba Quote qui met en (jolies) images les textes fleuries du rappeur.
Lorsque l’on rencontre Naya, ce que l’on voit c’est avant tout une jeune fille douce et passionnée. Passionnée de musique et de ses aînées, des Beatles et…
Kevin Smith, ce grand fou, a une belle bande de copains prêts à suivre tous ses délires. L’homme au cinéma barré ( « Dogma », » Jay and Silent Bob strick back ») avait, en 2014, décidé de lancer sa trilogie du Grand Nordmettant en scène un Canada au-delà du réel. Et surtout de toute cohérence. S’inspirant de ses paysages onirique et des particularités (caricaturées) de ses habitants pour lui donner une nouvelle image bien loin des clichés sourires et poutine traditionnels.
« Tusk » ou l’homme morse
C’est ainsi que naquit l’OVNI, « Tusk »avec en tête d’affiche Justin Long et Michael Parks. Le premier y campe un podcaster américain véreux, véritable goujat qui se rend au Canada pour y interviewer un jeune homme afin d’ajouter du contenu à son émission web. Seulement voilà, les choses ne se passent pas comme prévues. Il rencontre alors Howard Howe, un tétraplégique obsédé par les morses.
Obsédé au point de vouloir en créer un à partir d’un être humain. Logique, c’est bien connu, c’est très simple. Toujours est-il que Wallace Bryton, notre podcaster est capturé de cet homme qui n’a qu’une obsession: ressusciter à travers lui son ami morse parti trop tôt.
Complètement incongru, louffoque, barré mais aussi violent et malsain, « Tusk » joue sur un humour noir dérangé pour séduire et sortir du lot. Entre moments de rigolades et profonds moments de dégoût; le film ne peut absolument pas vous laisser indifférent. Ou alors c’est que vous même faites des morses à partir des étrangers que vous rencontrez. Si vous faites ça, parlez-en à un spécialiste, ce n’est pas une pratique normale et saine.
En plus de son histoire qui vaut le détours, l’autre particularité du film tient à son casting. On y retrouver Haley Joel Osment, le petit de « 6ème Sens » qui a pris de l’âge mais aussi Guy LaPointe, un aventurier québécois au strabisme imposant interprété par Johnny Depp himself.
« Tusk » est également l’occasion de faire jouer papa Depp avec sa fille Lily-Roseainsi que son fils Jake. La nouvelle enfant chérie d’Hollywood y interprète l’une des deux Colleen, oui puisqu’il y a deux Colleen on va y revenir, le temps d’un rôle éclaire qui prendra tout son sens dans « Yoga Hosers ».
Chapitre 2: « Yoga Hosers » et les saucisses du mal
Et nous y voilà, le deuxième volet du Grand Nord, est encore plus barré et plus fou que son prédécesseur. A ce point? Disons que cette fois l’humour prime sur le glauque. Multipliant les scènes incongrues, se moquant des réseaux sociaux et profitant une fois n’est pas coutume d’une mise en scène « girly ».
« Yoga Hosers » est aussi et surtout l’occasion de faire jouer la famille: alors que comme dit plus haut Lily Rose Deppreprend le rôle de Colleen Collette; Harley Quinn Smith , la fille du réalisateur, qui a un prénom bien référencé et pas lourd à porter, y interprète celui de Colleen McKenzie. Les Colleen, tout le monde les appelle les Colleen, sont les meilleures amies du monde accrocs à leurs téléphones portable et jouant ensemble dans un groupe de rock. Comme elles sont super copines pour toujours, elles font même caca ensemble et partagent le même cours de yoga. Notez l’importance de ces informations comme bon vous semble.
Un soir où elles travaillent comme d’habitude dans l’épicerie du père de Colleen C, deux beaux garçons de dernière année leur proposent de participer à leur petite fête. Les voilà prêtes à tout pour y aller. Mais au même instant, nos BFF se retrouvent confrontées à un armée de saucisses nazies bourrées de choucroutes. Oui, vraiment. Qui eut cru que Winnipeg était une ville ayant connu un grand rassemblement nazis? Je ne sais pas moi hein et comment combattre les infernal saucisses cocktails? Comment faire gicler leur choucroute? Avec la force du yoga bien sûr…
Réunion de famille promise…
La famille Depp, ex inclus en profite pour se donner la réplique et introniser la princesse Lily Rose dans un premier rôle principal. La réputation du roi Depp est morte, vive la princesse Depp!
Si le duo père/ fille ne vous suffit pas, Queen L salue Jake son petit frère sur pellicule, un gamin qu’elle qualifie de « cool » dans le métrage. C’est ensuite au tours de sa mère Vanessa Paradisde taper l’incruste dans le rôle d’une prof d’histoire bien sympa. Enfin papa Depp reprend comme promis le costume de Guy Lapointe, l’un des rôles principaux du métrage.Seule frustration: ne pas avoir vu Johnny et Vanessa jouer ensemble, juste un peu, pour les années 90!
Un casting en easter eggs
Pour quiconque a un peu d’amour pour le cinéma américain, « Yoga Hosers » est une véritable pépite. On y retrouve Justin Long devenu super prof de yoga musclé, fini d’être un morse, Adam Brody ( inoubliable Seth Cohen de The OC) en musicien tatoué, Natasha Lyonne ( American Pie) en belle-mère insupportable mais aussi Haley Joel Osment en nazi-artiste ou encore Tyler Posey et Tony Hale, bref que du beau monde.
Ok mais ton histoire de saucisses nazies, ça fonctionne?
Globalement oui. Sans avoir la fibre jouissive d’un « Dead Snow »et ses zombies nazies aux mille boyaux, l’aspect délirant de l’oeuvre et son humour what the fuck suffisent à le porter et à prendre son spectateur pour la main. Bien que la jeune Lily Rose Deppn’est pas (encore?) une actrice hors paire, son charme suffit à lui donner une jolie présence.
Le duo de meilleures copines jusqu’au bout lui aussi fonctionne relativement bien. Leur addiction aux réseaux sociaux et leur mise en scène dans le film n’est d’ailleurs pas sans rappeler une autre oeuvre récente mettant en scène deux super copines: « Tragedy Girls » vu au PIFFF cette année. On y retrouvais de la graine de sociopathe adolescente qui kidnappent un tueur en série pour en faire de force leur mentor sur fond de filtres pastels. S’il fallait d’ailleurs choisir entre vous conseiller l’un ou l’autre, mon coeur pencherait pour « Tragedy Girls ». Au point d’éclipser l’autre? Non, vraiment pas.
« Yoga Hosers » a la fibre des nanards de séries B, ceux qui font sautiller sur son fauteuil, comme les mauvais bons films de requins ( dont on vous propose une liste ici) . Sauf que lui à les moyens de s’assumer et un scénario à la plume suffisamment fine pour ne pas tomber dans le ridicule. On rit des blagues et pas de films, cette fois contrairement aux films de requins. De quoi combler les fans d’un « Detention » par exemple, en manque de sensations absurdes. Et si vous n’avez pas vu « Detention » sachez le c’est une erreur. Réparez vite ça.
Et la suite?
« Moose Jaws », le troisième et dernier volet de ce trip canadien verra revenir ses personnages pour combattre un élan-requin, un espèce de « Dents de la Mer » mais avec un élan quoi. Si vous non plus vous ne voyez pas ce que ça peut donner,nous non plus! Et pourtant qu’est ce qu’on a hâte.
Ceux qui ont assisté aux concerts de Her avaient déjà entendu cet hymne fin, puissant et raffiné. C’est en effet ce dernier que le groupe de Victor Solf…