Bonne nouvelle pour les fans de la série« The Handmaid’s Tale », moins bonne pour les habitants de Gilead.Hulu n’a pas attendu longtemps pour officialiser sa saison 3.
La saison 2 a quand à elle été lancée le 26 avril avec deux premiers épisodes. Elle promet de s’intéresser aux origines de la dictature, la résistance, les colonies, le sort de June qui est enceinte (Defred pour le régime totalitaire) et d’être encore plus dure…
Ce qui, quand on a vu la saison 1 veut dire beaucoup. Le propos y était martelé à grands coups laissant le spectateur entre colère et peur. Reste à savoir ce que dans les faits donnera cette nouvelle saison et sa suite. Pour mémoire la saison 1 était inspirée du livre de Margaret Atwood, « La Servante écarlate » hors elle n’a jamais écrit la suite des aventures de son héroïne qui se concluent comme la saison 1, sur un énorme doute…
L’auteure a pourtant participé à l’écriture de la saison 2. Si son sujet est incroyablement dense, actuel, tenace, reste à éviter de tomber dans les pièges évidents de trop en faire au risque de perdre en créativité et pertinence. Le projet semble néanmoins dans de bonnes mains et l’idée de (se faire mal) pousser la réflexion sur deux nouvelles saisons parait particulière alléchante.
Le renouvellement de la série n’est néanmoins pas une surprise: cette dernière a permis à la plateforme Hulu de se faire un nom mais a également reçu de très nombreuses récompenses parmi lesquels 8 Emmy Awards et 2 Golden Globes pour Elisabeth Moss qui interprète le personnage principal.
En attendant cette saison 3, intéressons nous au futur proche. « The Handmaid’s Tale » saison 2 comportera 13 épisodes.En France elle est diffusée sur la chaîne OCS tous les jeudis.
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Bilan du Printemps de Bourges: 150 artistes dans les salles, 140 concerts extérieurs, 250 concerts dans les bars soit presque 500 au total pour 250 000 visiteurs en…
Fans de musique ET de cinéma? Sortez vite vos agendas! En effet, le Champs-Elysées Film Festival revient dans la capitale du 12 au 19 juin 2018!
Au programme une compétition de films mais pas que! En effet, après une bonne projection ce festival aux multiples dimensions vous invite à faire la fête avec des artistes qui pèsent dans le game comme Radio Elvis, Faire ou encore French 79... On vous en dit plus.
Côté cinéma déjà:
Cette année se déroulera la 7ème édition de ce festival qui a pour but de mettre en avant la diversité du cinéma français et du cinéma américain. L’édition 2018, elle souhaite se focaliser sur l’indépendance. Pour se faire, le festival s’est paré d’un invité d’honneur de choix puisque c’est le réalisateur, acteur et écrivain John Cameron Mitchellqui a été choisi. C’est d’ailleurs son film « How to talk to girls at parties » avec Elle Fanning et Nicole Kidman qui ouvrira l’événement. Et de quoi ça parle? Que bonnes choses qui donnent envie: 1977 : trois jeunes anglais croisent dans une soirée des créatures aussi sublimes qu’étranges. En pleine émergence punk, ils découvriront l’amour, cette planète inconnue et tenteront de résoudre ce mystère : comment parler aux filles en soirée…
Ok, mais tu m’as aussi parlé de musique non?
Oui, j’y viens grand fou! Comme dit plus haut, le Champs-Elysées Film Festival voit les choses en grand et promet de belles soirées de live avec la crème de la scène indé parisienne. Puisqu’en musique aussi l’événement a choisi de miser sur les indépendants pour séduire. Logique. Du coup showcases et DJ sets se succèderont pour vous faire danser jusqu’au bout de la nuit.
En pratique la soirée d’ouverture se tiendra à la Maison du Danemark le 12 juin et mettra Faire à son affiche.
La suite aura lieu sur le Rooftop du festival ( voilà qui promet) et proposera de découvrir les performances de John Cameron Mitchell & Karls Plank en DJ set ( le 13), Radio Elvis et Piège à garçon (le 14), Vendredi Sur Mer, Aloïse Sauvage et Piège à Garçon en DJ set ( le 15), Tim Dup et Raphaëlle Lannadère ( le 16) et Pépite le 17 pour conclure en beauté.
Et comment on fait y aller à ces showcases?
Pour s’y rendre une seule solution, être porteur de l’accréditation illimitée ( à 49 euros et 35 pour les moins de 26 ans) qu‘on peut se procurer ici.
Ensuite il faudra se rendre sur le rooftop de l’immeuble Publicis de 22 heures à 1 heures du matin ( avec une tenue correcte s’il vous plait). Attention les soirées d’ouverture et de clôture nécessitent d’être en possession d’un pack soirée d’ouverture e de clôture qui donnent accès à la cérémonie, à un film, et super nouvelle à un open bar. Allez go!
Après nous avoir fossé compagnie au printemps 2017, le Chorus des Hauts-de-Seine avait néanmoins pris possession de la Seine Musicale, nouveau lieu situé à Boulogne-Billancourt , dès l’hiver…
Le 30 mars 2018, le duo Hotel revenait dans les bacs avec un nouvel album haut en couleurs, « Room 102 ». Un opus clairement pop rock aux accents 80’s…
Nous sommes en 2018 et le nouveau Steven Spielberg, » Ready Player One « , dont la sortie est prévue pour le 28 mars 2018, est attendu de pied ferme. Logique, le réalisateur est un maître en la matière mais et surtout… nous sommes en 2018, l’année des clins d’œil, des références, des remakes et suites de tout ce qui peut toucher à l’univers des années 80/90. Et si de ces années là il ne fallait retenir qu’une œuvre, il a fort à parier que celle de Spielberg serait la première citée.
Mais Ready Player One qu’est ce que c’est?
Le Monde a bien changé, on est en 2045et partout dehors c’est le chaos. Face à un quotidien pauvre et morose, les humains se réfugient dans l’Oasis, un univers virtuel extrêmement développé dans lequel on peut être qui on veut et vivre des aventures extraordinaires. Avant sa mort, son génial et excentrique créateur, James Halliday a décidé de laisser l’Oasis et la fortune qu’il représente à quiconque trouverait l’Easter Egg numérique qu’il a caché dans le jeu. Pour Wade Watts, jeune garçon loin d’être un héros, c’est le rêve absolu. Le voilà lancé dans cette aventure folle entre monde numérique et réel…
Ok Mais finalement « Ready Player One » c’est bien ou pas?
Tout comme « Avatar » de James Cameron, l’important n’est pas de proposer une histoire complexe et jamais vue mais de tout axer sur sur un univers riche et un univers incroyable. Et tout comme dans la planète de nos avatars bleus, ici ce qui prime c’est bien la complexité avec laquelle l’Oasis a été travaillé. Vraiment? pas seulement. Spielberg est Spielberg et maîtrise parfaitement ses codes et ses enjeux.
Du coup, là où n’importe quel cinéaste aurait pu choisir de mettre une bande d’adultes à la poursuite de son oeuf de pâques, lui le si souvent copié mais jamais égalé, choisi de nous présenter des héros adolescents pour jouer sur une jolie nostalgie. Nostalgie tu dis? Et pourquoi pas simplement pour qu’un jeune public s’identifie à ses héros? Nostalgie oui, puisque comme un « Stranger things »qui décidément a tout compris des tendances actuelles, « Ready Player One » est avant tout une déclaration d’amour à la pop culture de ces 40 dernières années. Puisque le cinéaste, qui quelque part doit bien se refléter dans son James Halliday distille à grosse dose dans son métrage ses propres Easter Eggs sous forme de déclaration d’amour à la pop culture. Les références y sont nombreuses, identifiables et identifiées et toujours données non pas sous la forme d’un clin simple adressé aux initiés mais allant chercher le spectateur de tout âge. Lui aussi doit s’en délecter et s’en éprendre. Stephen King, King Kong, « Retour vers le futur »et les Duran Duran ainsi, que Minecraft, Halo, Doom, ou encore Overwatch se croisent à travers un univers léché et grandiose. La modernité dit-il peut aussi être le vaisseau de la pop culture, la rendre éternelle.
Pour se faire, il met alors les petits plats dans les grands créant une épopée épique comme on savait en faire dans les années 90.
Bien loin de rejeter une passion pour le virtuel comme pouvait le faire un « Virtual Revolution » ( et bien d’autres avant lui), Spielberg en fait un moyen de communiquer et de se retrouver. Un monde d’espoir en somme qui sans juger ses accrocs leur rappelle que le monde réel ne doit jamais en être dissocié. Toi même qui est accroc à Internet et ton smart phone pourra comprendre ce message très loin de ce qu’on peut parfois voir. Hello « CSI cyber »qui prenait de haut les nouvelles technologie et jugeait sans remords ses utilisateurs.
Une bonne grosse quête
Au-delà de ce message, » Ready Player One » est aussi et surtout une belle aventure. Simple, basique en un sens, tant les tenants, aboutissants, gentils et méchants sont identifiables et pourtant. Pourtant il est facile de se laisser entraîner dans ce tourbillon d’actions et de se laisser porter par cet authentique divertissement , Blockbuster par excellence qui sans toujours vouloir pousser le spectateur dans des réflexions profondes sur la vacuité de l’être, lui offre de s’échapper du quotidien pour rejoindre un monde merveilleux. Tout comme l’Oasis qu’il crée avec génie, Spielberg offre la même échappatoire 2 heures 20 durant à son spectateur. Pas de quoi aller à la course aux oscars, pas de quoi réjouir les consommateurs de cinéma peignant les drames de notre société, non qu’importe. Le film se la joue véritable retour aux sources et fait un bien fou.
Porté par un casting de choc Tye Sheridan (Wade), Olivia Cooke (Samantha), Ben Mendhelson (Sorrento) mais surtout par un univers virtuel minutieusement travaillé, cette oeuvre familiale rassemblera forcément sans casser les codes. De quoi vous pousser à vous réfugier derrière vos écrans et revoir vos classiques pop. Ceux qui parlent à tous, ceux qui ne diffusent pas, ceux qui sont pop parce que populaires, parce que l’art peut aussi rassembler. Ensuite il faudra retourner à la réalité, parce qu’après tout le réel et bien qu’il soit froid, difficile d’accès, dure à encaisser, parfois carrément laid est bien la seule chose de réel. Tenez le vous pour dit, par Spielberg himsel, si vous ne me croyez pas.
Ready Player One - Bande-Annonce Officielle (VF) - Steven Spielberg
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Alors que Hit Sale, le premier album de Thérapie Taxi est sorti le 2 février 2018 chez le label Panenka Music, retour sur une interview avec la formation qui sera présente pur la seconde fois sur lePrintemps de Bourges 2018. L’occasion de parler d‘Orelsan, de phoques, de drogues, de consommation d’albums en 2018 et de lancé de kippas. Découvrez sans plus attendre ce moment WTF?
Pop & Shot : Cette année vous serez à nouveau présents au Printemps de Bourges, c’est cool pour vous ?
Raphaël– C’est vraiment cool d’y être. C’est peut être le truc le plus cool qui me soit arrivé depuis… Depuis ma bar-mitzvah ! (rires du groupe).
P&S: Et c’était quand ta bar mitzvah du coup ?
Raphaël: Ben c’était hier. (rires) Les bons événements s’enchaînent. Clairement, je suis dans une bonne semaine. La circoncision est déjà passée. Donc du coup on est sur une bar mitzvah puis le Printemps de Bourges donc ça peut être sympa.
P&S: La bar mitzvah devait être plus sympa quand même
Raphaël: C’était très cool mais le Printemps de Bourges est pas encore passé et comme j’ai ramené des kippas donc je vais balancer des kippas pendant le concert ! Open kippas ! On essaie vraiment de combattre l’anti sémitisme à notre niveau. Stop ! Arrêtez de faire chier les feujs, ils ont vraiment bouffé quoi !
« Ouais on faisait des fucks dans les phoques »
P&S: Avant vous faisiez quoi ? Vous balanciez de l’eau bénite ?
Raphaël: C’est ça ! On s’est occupés de tout le monde ! On a commencé par les bouddhistes puis à un moment donné on a un peu dérivés, on a fait les phoques, les trucs comme ça, les animaux ça n’a pas trop marché. Puis on est revenus au basique religieux.
P&S: Un phoque ?
Renaud:Ouais on faisait des fucks dans les phoques
Désapprobation générale à base de Pwouah
Raphaël: (tachant de reprendre son sérieux) L’idée était vraiment de sensibiliser les gens à la cause des phoques quoi.
P&S: Et le fait de fucker des phoques ça a marché ?
Raphaël: (rires) Ouais ! Que pour Renaud hein ! Y’a que Renaud que ça excite, c’est le seul!Sinon on est tous très sains.
(Petite pause technique ou nous échangeons sur le pourcentage de vote Mélenchon à Paris, le 18ème arrondissement, les conquêtes amoureuses de Raphael)
P&S: Et du coup, c’est parce que tu vis à Pigalle, que vous avez sorti le titre « Pigalle » ?
Raphaël: Pigalle c’est juste l’histoire de moi et mes potes commençant à Pigalle et effectivement ça a un lien, étant donné que ça fait quatre ans et demi que je vis à Pigalle, je sors avec mes copains et je fais pleins de conneries. Et, du coup, j’avais envie d’écrire une chanson là dessus.
Felix: Et de faire un clip pour illustrer la jeunesse…
Raphaël: Exactement ! Le clip c’est moi et mes potes qui font la teuf quoi.
Renaud: C’est sans filtre !
Raphaël : #nofilter. Ce qui n’est pas vrai, vu qu’on a mis beaucoup de filtres de saturation. Mais du coup, c’est l’histoire de Pigalle qui est résumé dans le clip. Et d’ailleurs je suis le réalisateur du clip.
P&S:Tu as réalisé d’autres clips ?
Raphaël: On a co-réalisés « Salope » avec Renaud. Quel est ton avis d’ailleurs Pop sur la chanson ?
Renaud: et ensuite on demandera l’avis de Shot.
Pop:Une histoire d’amour-haine,non ?
Raphaël: ok,ok . Et toi Shot ?
Shot:Ouais le coté Amour-Haine. La haine que tu peux avoir pour l’être aimé une fois que c’est terminé.
Raphaël: C’est pas mal ça Shot ! Je crois que le truc basique était un peu comme disait Shot et qu’ensuite … Je pense que c’est très bien résumé : l’accumulation des insultes qui sont en fait des accumulations de preuves d’amours, de pouvoir dire « Je t’ai tellement aimé, tu m’as tellement fait mal, faut que ça sorte ! »
Renaud : Et puis ça parle aussi des phoques sur le dernier couplet… (Rires)
« Je pense qu’il y a une jurisprudence Orelsan maintenant, qu’on a vu que c’était un artiste à part entière, qu’on l’aime ou qu’on l’aime pas… »
P&S:Orelsan, qui sera aussi à l’affiche de Bourges cette année. Il y avait déjà chanté il y a quelques années, à l’époque du scandale concernant « Sale pute » avant de se faire censurer…
Raphaël: Je pense que ça nous arrivera pas. Je pense qu’il y a une jurisprudence Orelsan maintenant, qu’on a vu que c’était un artiste à part entière, qu’on l’aime ou qu’on l’aime pas…
Renaud:Il a peut être déblayé l’allée aussi…
Raphaël: Au delà de ça, je pense que le propos de notre chanson est autre aussi.
P&S: Comment vois tu le propos de « Sale pute » d’Orelsan ?
Raphaël: Ouais c’est vrai que c’est un peu pareil finalement ! (rires) Sauf que nous, on donne la parole aux femmes !
Renaud: On est dix ans plus tard aussi
Raphaël: Mais tu as raison : le fond est peut être le même ! Tu viens de me le faire comprendre. Le fond est peut être le même, mais la forme est différente, vu qu’on est en duo avec Adé . Il y a une dualité et cet esprit de confrontation qui est très important. La différence est là. On a même essayé de commencer avec le premier couplet qui serait celui de la meuf. Ça marchait pas trop. Mais l’idée était de dire que sur ce truc là, sur l’amour-haine, il y a une certaine égalité, et qu’une meuf peut dire à un mec : « tu vas bouffer mes tampons » et ça c’est cool.
« La drogue fait maintenant partie du quotidien des gens. Il y a dix ans personne prenait de la drogue, maintenant des gamins de Troisième prennent de l’acide. »
P&S:Il y a pas mal de chansons qui parlent de drogues, alcool, est ce qu’il y a un message derrière, est ce que ça fait partie de votre quotidien ?
Raphaël: Il y a toujours quelque chose à dire de toute façon. C’est un sujet très intéressant et très vaste. L’humain est un sujet très intéressant et très vaste. Mais par ce prisme là tu peux raconter pleins de choses. Tu peux parler du kiff que ça peut être, comme les questions que ça peut poser sur toi, comme comment tu essaie de t’en sortir ou pas. Il y a pleins de choses à dire. La drogue fait maintenant partie du quotidien des gens. Il y a dix ans personne prenait de la drogue, maintenant des gamins de Troisième prennent de l’acide. Même si tu ne consomme pas, ça fait partie de ton quotidien, tu connais, tu es avec des gens qui en consomme. A l’âge qu’on a, ça coule de source de raconter une soirée en parlant de drogues.
P&S: Comment vous procédez pour vous composer ?
Renaud: A la base tu as Adé et Raph qui amènent des chansons et après on se réunit tout les cinq avec nos réalisateurs pour les arranger et les mettre en forme, travailler sur les lignes d’accords…
P&S: Comment se sont déroulés les préparatifs de l’album?
Raphaël: Il y a pleins de questions que tu dois te poser. Aujourd’hui, sortir un album n’est pas aussi simple qu’avant, parce que les gens consomment la musique différemment, parce que sortir un album pour sortir un album, ça ne sert pas à grand chose. Donc, il faut créer de l’attente, il faut savoir comment tu crée de l’attente, qu’est ce que tu mets comme contenu pour être efficace à la fois en tant qu’objet physique et objet digital. Sur le notre on développe les univers posés sur l’EP.
P&S: Qu’est ce qui fait qu’il y a autant d’univers différents ?
Raphaël: Parce qu’on a pleins de créativité ( rire de Adélaïde ). Et qu’on allait pas se priver. Il y a pleins de choses qu’on est et d’énergies différentes. Il y a des chansons comme celle de Coma et d’Adéna, ou on a travaillé les textes, qui sonnent bien, qui sont agréables à écouter. Et puis tu as d’autres trucs, comme « Pigalle » qui tapent, qui arrachent un peu plus…
Félix: Je pense qu’avec le recul, quand tu écoute nos chansons, que tu nous vois sur scène, tu t’y retrouve, tu comprends que c’est pas un groupe différent qui a composé chaque chanson, qu’elles ont des couleurs qui se nuancent mais que c’est la même came.
Pour plus de bons sons vulgaires comme on aime, façon « Salope », tu peux aussi retrouver notre playlist vulgaire ici.
Les fans des américains de The Killers ont eu chaud. Le groupe en tournée européenne avait en effet annulé sa date au Luxembourg le 1er mars sur ordre…