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novembre 2017

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Dans le cadre de la présentation de son projet «  The Glitter Manifesto » , Lorène Aldabra était à la Scène du Canal dans le 10ème arrondissement à Paris les 23, 24 et 25 novembre 2017. Étaient convoqués pour cette soirée électro, pop, de cabaret, concert-spectacle, paillettes et… André Breton ! Quoi ?! Pop&Shot y était… Reportage !

DR Lorène Aldabra

Parfois, c’est rafraîchissant de se rendre à un concert sans se renseigner sur l’artiste qui va jouer. Bien sur, Youtube est ton ami et tu peux te faire une idée. Mais ne connaître que quelques minutes du répertoire d’un artiste, ne pas se laisser influencer et lâcher prise pour se plonger dans un nouvel univers, cela a quelque chose de cathartique…

Bienvenue à l’Amour Fou ! 

En pénétrant dans la Scène du Canal, je ne savais pas à quoi m’attendre. Une discussion, surprise à la volée, entre deux spectateurs venant se saluer me met dans le bain : «  Je suis venue avant hier et c’était totalement différent de ce qu’il s’est passé hier à ce qu’on m’a dit. C’est à ça qu’on reconnaît les grands artistes. ». Voilà de quoi susciter l’intérêt…  Dans quel univers Lorène Aldabra va t-elle faire plonger la salle ? Une projection vidéo a tôt fait de nous répondre … Ou pas. Car le Manifeste de la Paillette proposé par Lorène Aldabra est plus complexe qu’il n’y paraît…

Bienvenue à l’Amour Fou, la boite de nuit située à l’intérieur de votre cœur ! Dans un costume tout de strass et de paillettes, Lorène Aldabra nous prend par la main et nous entraîne dans son univers bien à elle. Et autant dire que son univers est vaste, ses références et ses influences balayant un large spectre. Alternant projections vidéo (dont l’esthétique n’a rien à envier à des clips de « professionnels ») et morceaux chantés, Aldabra déploie une énergie aussi impressionnante que convaincante.

Quand Lorène Aldabra fait se rencontrer André Breton et Kylie Minogue…

Les reprises et les morceaux de son « Glitter Manifesto » nous plongent dans un « Studio 54 » revisité à un point tel que la question finit par se poser de l’endroit ou le spectateur se trouve. Avec des rythmes rappelant tour à tour les années 70, 80 et 90, la sonorité des morceaux est tel que parfois on se demande si Lorène Aldabra nous chante une reprise ou bien un de ses morceaux. C’est dire la qualité de l’interprétation ses textes qui n’ont rien à envier aux standards des années 80-90.

DR Lorène Aldabra

Beaucoup d’illustres prédécesseures viennent à l’esprit en voyant la chanteuse : Madonna, Dolly Parton, Kylie Minogue, Mylène Farmer… Mais surtout, Lorène Aldabra a ce talent de pouvoir nous faire prendre conscience que ce à quoi elle fait avant tout penser c’est à elle même. Elle nous offre la chance, assez rare, d’assister au spectacle d’une artiste unique, aux références multiples certes, mais qui offre quelque chose de profondément authentique et intéressant. En effet, sous un apparat d’Euro Pop, Aldabra, sous une fausse candeur, nous offre des textes fouillés, dont le fabuleux « Dors mon ange » autant dans le fond que dans la forme ( voix puissante qui n’a rien à envier aux plus grandes, ambiance piano-bar intemporelle et instantanée) qui ne finira pas de nous trotter dans la tête… Play it again Lorène !

Enfin quand la chanteuse, inspirée par André Breton, nous « souhaite à tous d’être follement aimé » en guise d’au revoir, il y a la conviction profonde que le public de la Scène du Canal que le public l’a, elle, follement aimé le temps d’une soirée.

Si tu as envie de te plonger dans d’autres concerts, Pop&Shot te propose celui de BB Brunes ou bien encore celui de Lola Marsh

Après plusieurs mois confinés dans un appartement suite à une infection dévastatrice, cinq survivants unis par la catastrophe décident de quitter leur refuge en quête d’ailleurs. Ils vont se confronter aux pires travers de l’humanité, loin de se douter qu’une menace encore plus grande les guette. La fin du monde, le début du leur… Un post-apo matiné zombie à la française, Pop&Shot ne pouvait qu’être sur le coup! Rencontre avec deux des créateurs de « Reset » dont l’épisode pilote est en ligne, Yohan Labrousse et Christelle Gras


affiche officielle de la série "Reset"2017
affiche de la série « Reset » 2017

Pop&Shot : Que pouvez vous nous dire sur les origines du projet « Reset »?

Yohan : En 2011, un ami commun nous a contactés en nous disant, et ça peut faire rigoler aujourd’hui, « il n’y a pas de web série sur les zombies », on s’est lancés, on a commencé à créer les personnages…

Christelle : Au début, on partait sur l’idée d’une web série, et au final, on a tellement écrit et développé et étoffé l’histoire que c’est devenu une série.

Y: C’est compliqué de différencier série, web série, série digitale… Avant, on arrivait à faire la différence, une web série était composée d’épisodes de 13-15 minutes. Maintenant, avec Netflix, Amazon, la frontière est plus floue.

C : Nos épisodes devaient faire 52 minutes.

P&S: Au niveau de l’écriture, vous en êtes ou ?

C : On a finalisés l’écriture du pilote de « Reset » et de l’épisode 2. On a pitchés tout les autres épisodes du reste de la saison 1 et on est allés jusqu’au début de la saison 2 qui est vraiment… Très intéressant.

P&S : Vous avez procédés via le crowdfunding pour financer le projet « Reset ». Est ce que vous pouvez nous en dire plus ? Sur la manière dont vous avez procédés, la manière dont vous avez pu communiquer à ce sujet ? Comment vous avez pu estimer le budget dont vous aviez besoin pour réaliser le projet ?

Y : Au début, on avait vraiment aucune idée de combien, il nous fallait ( rires). On est partis voir ulule et on voulait demander 20 000. Ils nous ont répondus : « Personne ne vous connaît et vous voulez 20 000 euros ?! Commencez par demander 5 000 ». Son raisonnement se tenait… Mais on l’a pas écouté : on a demandé 15 000 et on est arrivés à 25 000 !

C : Le crowdfunding c’est un travail à plein temps. Tout les jours, on communiquait, on inventait de nouvelles choses, on prenait des photos, tournait des vidéos, on faisait des interviews. Par exemple, on a fait une interview avec créateurs, réalisateur et je me suis dit qu’on ne pouvait pas faire ça sur un canapé devant une vidéothèque : on a donc fait l’interview sur les toits de Paris ! On a été beaucoup soutenu aussi. On a eu des articles dans la presse, beaucoup de blogs aussi, pas forcément spécialisés dans le cinéma de genre d’ailleurs. On a eu un article sur le blog d’Arte, qui parlait de différents projets de crowdfunding, dont le notre, par exemple. Je pense que c’est ça qui nous a vraiment permis de réussir. Les gens étaient aussi surpris et séduits par le fait de voir une série d’anticipation et post-apo française.

P&S : Le fait que ce soit justement une série de genre, en France, vous pensez que ça a freiné ou au contraire boosté le projet ? On était à Gérardmer cette année et on a pu croiser plusieurs personnes de la ville nous expliquant que l’affluence et même la couverture baissaient d’années en années…

Y: Oui mais avant Gérardmer, il y avait Avoriaz. Avoriaz, on ne peut pas dire que ce n’était pas couvert. Après qu’est ce qui fait qu’à une époque ça l’a été et maintenant moins…

C : Mais parce que je pense qu’il y a eu une époque glorieuse du genre. Et que c’est peut être moins le cas maintenant…

Y : Il y a eu des choix qui ont été fait aussi, en terme de subventions, privilégiant un certain type de films… Ce qui a amené une radicalisation des créateurs et ce qui a conduit à des projets plus choquants, plus gores, plus référencés que d’habitude. Ce manque là crée aussi quelque chose. Il crée une sorte de frustration qui incapacité beaucoup les réalisateurs, qui du coup font des films soit pour choquer leurs parents soit pour refaire le film qu’ils ont aimés avant. Il n’y a pas vraiment de volonté créatrice. Ils ont compris. Ils n’ont pas vraiment de budget derrière…

 


« Nous, on est partisans qu’il y ait du sens. Par exemple, dans le pilote, celle qui tue, la seule qui tue c’est la seule qui était incapable de tuer »


 

 

P&S : C’est pour ça que beaucoup comme Laugier, Aja, Bustillo et Maury partent à l’étranger pour monter leurs projets…

Y : Oui, parce que ce n’est pas que ce sont de mauvais réalisateurs. Mais à l’étranger, on saura reconnaître leurs compétences techniques. Et que là bas, on va plus regarder le contenant que le contenu.

C: Pour un Laugier, dont je suis une fan absolue, il y a les deux très clairement. Mais je vois ce que tu veux dire : cette frustration crée des choses beaucoup plus crues, bruts. J’aime bien le cinéma de genre français. J’ai beaucoup aimé A l’intérieur par exemple. Mais c’est vrai qu’on peut se demander : « Pourquoi aller aussi loin ? ». Le genre ce n’est pas que l’hémoglobine, l’ultra-violence… Sans en plus qu’il y ait forcément un message derrière. Nous, on est partisans qu’il y ait du sens. Par exemple, dans le pilote, celle qui tue, la seule qui tue c’est la seule qui était incapable de tuer. Ça prend du sens, car ça caractérise le personnage sur l’instant, ça le caractérise sur la durée. La violence prend du sens dans ce genre de cas de figure et c’est ce qu’on aime, ce qu’on préfère.

P&S : Comment vous avez fait pour créer vos personnages ? Ils ont une vraie importance, même dans la bande annonce.

Y: On s’est inspirés de nous, de notre entourage. Je crois que c’est bien de partir de soi, de pas trop s’éloigner des personnages qu’on décrit. C’est pour une question d’authenticité. Et puis, les acteurs aussi contribuent beaucoup à l’élaboration du personnage, ils le modifient, ils le modèlent en fonction de ce qu’ils apportent au personnage.

P&S : Comment s’est passé le casting des différents acteurs ?

Y: De manière très classique en fait. On a passé des affiches dans les écoles de théâtre, on fait des dossiers, on sélectionne et on on en voit quelques uns. Ceux qu’on garde, on les mélange pour voir si ça fonctionne bien entre eux. Et on voit ce qui marche le mieux.

: Tu as bien expliqué le processus. Concrètement, on avait aucun réseau, donc le point de départ ça a été de mettre des affiches dans les écoles de théâtre. On est passé par le site cineaste.org, qui est la seule source fiable pour ce genre de projets.

: C’est une newsletter, c’est gratuit et 99% du temps quand on demandait « ou est ce que vous avez entendu parler du projet ? », on nous répondait par cineaste.org. On a fait à pied toutes les écoles de théâtre de Paris. Ça sert à rien (rires).

P&S : Dès le début de « Reset », le décor fait très « banlieue », est ce que c’était un clin d’œil voulu à La Horde ?

Y : Pas vraiment, car ça s’est tourné à Paris même dans le 13ème, là ou je vivais à l’époque. La seule scène tournée en banlieue en fait, c’est à la fin, dans le parc. Les épisodes suivants se seraient passés dans des décors plus haussmanniens de Paris.

C : C’est le décorum, c’est le milieu qui nous a inspirés. Je pense que tu n’écris pas pareil selon que ton action se passe à Paris, dans la jungle ou bien à la campagne. On aurait pas fait la même chose si on avait écrit dans un milieu rural. C’est le lieu qui nous engage dans ce que l’on écrit. On a eu les décors que l’on voulait, ça a été dur, car quand on veut tourner du genre, il faut se battre mais on est très satisfait d’avoir réussi.

 


« Dans le contexte des attentats, on s’est aussi dit que c’était une bonne chose d’avoir un « Allah Akbar » dans le contexte dans lequel il devrait toujours être, c’est à dire un contexte de paix et non comme un cri de guerre. »


 

 

P&S : C’est aussi très intéressant que le pilote de « Reset » s’ouvre sur une prière. Pourquoi ce choix ?

C : ça s’est décidé au montage en fait… Dans le script, c’était la scène du banc qui devait ouvrir le pilote. La scène de la prière était à un tout autre endroit dans le script. Mais c’est la magie du montage en fait de pouvoir arriver à ce genre de résultat. Cette scène de la prière est tellement forte ! Après tant de visionnages, elle continue de me toucher, de m’émouvoir. La musique d’Alex Cortez, le jeu d’Eza, pas de dialogue, juste la prière… Tout de suite, ça réussit à te mettre dans l’ambiance « fin du monde ». Et dans le contexte des attentats, on s’est aussi dit que c’était une bonne chose d’avoir un « Allah Akbar » dans le contexte dans lequel il devrait toujours être, c’est à dire un contexte de paix et non comme un cri de guerre. On a trouvé le symbole vraiment fort et vraiment chouette.

P&S : Vous avez fait de nombreux festivals pour présenter « Reset », comme par exemple « Mauvais Genres », qu’est ce que ce type d’expériences peut vous apporter à votre avis ?

Y: C’est beaucoup de réseau et beaucoup de moments vraiment chouettes.

C : C’est aussi une très belle carte de visite. En France, on a pas eu de sélections, parce qu’on était que dans des festivals de cinéma, ou on a pu nous donner la chance de présenter le pilote. A Séries Mania, on était le seul projet du catalogue, à ne pas avoir de chaîne, à n’avoir que le pilote. A chaque fois, on nous a laissés notre chance. Pour les sélections à l’étranger, je pense que ça nous a bien aidés quand même. On a eu un festival à Atlanta sponsorisé par HBO ! HBO ! C’est toujours bon pour un dossier de voir qu’il a été présenté dans de nombreux festivals… On a eu de bons retours des chaînes… Même si ça ne correspond pas à leur ligne éditoriale actuellement… Mais  » Reset », c’était un premier projet, on sortait de nulle part, on a fait un pilote de trente minutes, on s’est formés sur énormément de choses. On a jamais reçu de mails génériques chaque fois qu’on a présenté notre projet. A chaque fois on nous a expliqués pourquoi ça ne pouvait pas se faire, mais aussi ce qui avait été apprécié dans le pilote. On peut être fiers de ça, c’est pas tout le temps que les chaînes prennent le temps de détailler et expliquer . On a eu une réponse de Eric Varmach, de Netflix aux États Unis : « I really appreciate the look ». Se dire que ce mec a pris de son temps pour voir notre pilote et pour nous répondre c’est quand même très gratifiant.

P&S : Est ce que vous avez d’autres projets ?

C : Il est encore tôt mais on peut vous dire que ça reste dans le genre, que ce sera de la SF. Avec une teinte sociale, car on aime inclure du social. Et que ce sera un récit choral

 

Fan de cinéma de genre? Voilà 31 idées de films à découvrir!

 

Si vous voulez vous faire une idée sur ce qu’est le pilote de Reset, c’est juste ici:

 


Les jardins du château de Versailles, ses bosquets, au loin le grand canal et ses barques. L’été passionnés, curieux et touristes s’y pressent pour découvrir ce lieu chargé d’histoire, symbole de la grandeur française. L’hiver, c’est une autre histoire qui se joue. Pourtant la richesse artistique du domaine se prête autant à la lumière des rayons du soleil qu’à la grandeur de la glace.

 "The Sun" d'Ugo Rondinone Voyage D'hiver Versailles 2017

Et quitte à changer de températures, autant en profiter pour introduire à Versailles une autre forme d’art. Ainsi du 22 octobre au 7 janvier 2018, 17 installations ont été installés dans les bosquets du jardin de Louis XIV pour proposer une promenade jouant entre deux époques. Une initiatrive qui date de 2008 et qui a déjà permis d’accueillir dans le domaine de nombreux grands noms de l’art contemporain: Jeff Koons, Xavier Veihlan, Bernar Venet ou encore Giuseppe Penone pour n’en citer que quelques uns.
Partons ensemble à la découverte de la sélection 2017!

Voyage d’Hiver: c’est parti!

Voyage D'hiver Versailles 2017Tu aimes les chasses aux trésors? Alors cette promenade devrait te plaire. Il fait encore doux en cette fin octobre lorsque nous décidons de nous laisser entraîner dans ce joli voyage. Du type bi-dimensionnel comme le pensent certainement nos amis amateurs de SF ( ou pas..). Un plan fourni à l’entrée du jardins permet de repérer le parcours qui sera le nôtre pendant plus de 3 heures. Dans notre dos, le château domine le parc. Droit devant le canal s’étend avec une perfection géométrique incroyable. C’est le Bosquet de l’Arc de Triomphe qui accueille le première pièce, la sculpture d’un sphinx dont la blancheur évoque la neige, signée Marguerite Humeau. Voilà qui est rassurant, l’exposition colle à son univers. Le périple se poursuit. Les bosquets, ces espaces dans le jardin dissimulés derrières branchages et remplis de merveilles sont un plaisir à (re)découvrir. Où faut-il aller? Où est l’entrée du bosquet? Gauche, encore gauche et nous voici dans le Bosquets des Trois Fontaines pour découvrir Le Souffle et l’Oeil de David Altmejd. Des sculptures pour les moins … atypiques dont le symbolisme ( et le dos surtout le dos) feront beaucoup parler.
Le parcours se poursuit. Le sublime Bosquet des Bains d’Appolon est apparemment le théâtre d’une énorme soirée si l’on en croit la pièce de John Giono qui proclame « We gave a party for the gods and the gods all came ». Le bosquet du Dauphin, lui ressemble à un labyrinthe, le type de labyrinthe dans lequel les sonorités vous perdent et vous appellent: l’installation sonore « Tout est boulversé » de Dominique Petitgand rappelle que l’art contemporain a de nombreux visages.
Voyage d’Hiver c’est aussi l’occasion de visiter le sublime bosquet de l’Encelade ( habituellement fermé) et d’y découvrir son Dieu vaincu au milieu des œuvres posées temporairement par Cameron Jamie. Un détours aquatique réfléchissant la vie plus tard et hop nous voici face à « The Sun » d’Ugo Rondinone qui encercle parfaitement le château dès que l’on se met dans son axe. Pour se réchauffer, une petite pause chocolat chaud permet de se ressourcer à la Flottille, la brasserie face au Grand Canal. Et hop, nous voilà de nouveau sur la route.
Parmi les pièces à retenir de ce nouveaux parcours: deux valent particulièrement le détours, celle du Bassin du Miroir qui abrite l’oeuvre faite en poubelles d’Anita Molinero. Si dit comme ça l’expérience semble hasardeuse, sa mise en place et son existence dans ce décors prêté devraient satisfaire un large public.
La cerise sur le gâteau se situe dans le Bosquet de la Salle de Bal. Là, les éléments d’un décors de bal à l’américaine ont été réunis et gelés. Un système permet ainsi de garder cette pièce glacée, comme une patinoire, et immortalisée dans cette fête statique. L’occasion d’arrêter le temps quelques instants dans un lieu inimitable, et de se perdre dans la fête. Celles d’antan, gargantuesques données par Louis XIV comme Louis XVI et Marie-Antoinette. Et les nôtres, plus récentes.
A noter que l’hiver, les jardins de Versailles sont gratuit, une bonne raison supplémentaire de venir jouer les aventuriers dans les Bosquets. Prévoyez néanmoins un bonnet et des gants!
Anita Molinero Voyage D'hiver Versailles 2017

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