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Julia Escudero

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Nous avons eu 20 ans. Et lorsque c’était le cas, le rock était à nouveau tendance. En ce temps là, c’était le rock anglais, celui des Kooks, qu’il fallait écouter. Les belles gueules du rock c’étaient les BB Brunes qui passaient en soirée alors qu’il faisait bon porter des slims et des converses (qui n’ont pas tenu la distance). Il y avait quelque chose d’absolu à avoir 20 ans, fumer des cigarettes et arborer une mèche. Comme c’est souvent le cas à 20 ans, il était surtout bon être nonchalamment (mais surtout chalamment) je m’en foutiste tout en soignant son image.

Les années sont passées offrant surtout au rock de savants mélanges avec l’électro. La grande famille de l’électro rock et ovnis musicaux mélangeant les genres étaient là et ce qui se faisait appeler rock n’en avait parfois plus la saveur.

C’est certainement pour ça que lorsque Last Train débarque sur scène ce 6 mars à 20 heures 30, un petit frisson parcourt tous ceux qui dans la salle ont plus de 25 ans. Ce soir là, le Supersonic est plein à craquer… de professionnels de la musique. Le but? Découvrir en avant-première les nouveaux titres extraits du tout premier album de nos nouveaux bébés rockeurs « Weathering » à paraître le 7 avril.

Pour autant, le combo est loin d’être une découverte. Après avoir sillonner les routes de France, les 4 copains se sont vus offrir quelques jolis passages en radio, entraînant dans le tourbillon de l’excellent single « Way out » un bon nombre de groupies.

Un câlin et les acolytes montent sur scène. Blouson en cuir sur le dos, slims noirs et bottines : l’attirail est là, le son aussi.

Avec l’attitude du rock des 20 ans, celui qui fait balancer son micro en fin de set sur la foule du premier rang, sauter partout sur une scène trop petite, se courber aux sons des guitares, Last Train diffuse du rock, du vrai.

Les titres s’enchaînent alors que l’attitude de nos compère s’intensifie. Le single est interprété rapidement alors que « Fire » en fin de set ne laissera personne indemne. La voix cassée et incroyablement juste en live de Jean-Noël Scherrer répond de plus en plus aux guitares de Julien Peultier. Les instruments prennent le temps de monter en puissance, le chant leur laisse de nombreux bridges, faisant sonner les guitares dans leurs aiguës. Et alors qu’au premier rang, des jeunes filles dansent des étoiles pleins les yeux, tout le monde est à nouveau convié à cette soirée dans une grande baraque pour fêter l’obtention du bac.

Un nouveau titre se fait entendre « Sunday Morning Son », tout aussi qualitatif que ces prédécesseurs. Sur scène, comme dans la foule, on boit de la bière. Le chanteur prend le temps de remercier tout le monde « On est Last Train. Merci à tous d’être venus ! » et conclut par une forme de transe et une note d’espoir. L’élixir de jouvence, il existe et se trouve dans vos albums de rock !

 

Le printemps ne va pas tarder à pointer son nez dans l’Hexagone. Avec cette alternance du temps, une belle bande son s’impose, histoire de laisser couler aux grès des notes les derniers moments de mélancolie liés au grand froid.

Pop & Shot l’a bien compris et compte te donner un coup de pouce avec l’album « Twin Solitude » du Montréalais Leif Vollebekk. Celui qui a souvent été comparé à Jeff Buckley signe ici une galette de 10 titres épiques composés en quasi- improvisation. Entre mélancolie et instinct pure le songwritter vous bercera avec son piano et sa voix envoûtante.

« A l’instant où la dernière note cessera de résonner, il ne devrait rester que vous. Et moi je serai ailleurs» promet Leif.

Pour lui donner raison et gagner votre copie de « Twin Solitude », laissez un commentaire ci-dessous. Bonne chance !

 

 

Jeudi 2 février 2017, paraissait le clip de la plus improbable rencontre dans le domaine de la musique. Oubliez Bernard Tapie et Doc Gyneco au siècle dernier, voici d’un coté Yuksek, musicien et producteur de nu disco et …. Thomas Pesquet, le premier astronaute français depuis 15 ans! Le tout illustré par des images de l’Agence Spatiale Européenne ! Si sur le papier, on peut pousser un gros « Whaaaat?!?! ». La rencontre d’un fana d’astronomie et d’un fan de la musique de Yuksek aura débouché sur la collaboration des deux talentueux tricolores. Avec le concours de Jérome de Gerlache, le montage et la mise en scène des images de l’astronaute rouennais couplés à la musique du musicien électro rémois confère au clip une certaine poésie et nous transporte bien loin, loin de là ou nous sommes…

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« Mon album n’était pas encore terminé quand Thomas est parti mais c’était très excitant de penser que l’une des personnes qui allait l’écouter le ferait depuis l’Espace » confie Yuksek.

Pour Thomas Pesquet « on a trouvé le temps de concrétiser ce projet pour créer un clip en partie tourné dans l’espace, ce n’est quand même pas tout les jours., déclare Pesquet? « Je trouve le résultat assez poétique, notamment en grande partie grâce au talent de compositeur de Yuksek ».

Et le principal intéressé de conclure  « Grace au travail de réalisateur de Jérôme de Gerlache et Thomas bien sur, nous avons quelque chose de rare, je dirais même unique! Des images tournées pour nous depuis l’espace avec la vision d’un astronaute qui écoute ma musique! Je n’arrive toujours pas ç y croire…. »

 

Pour voir ce que ça donne, c’est juste là

 

L’album « Nous Horizon » dont est extrait le single « Live Alone »  sortira le 24 février 2017.

 

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Le 31 mars, la relève électro Made In France FORM, se produira en live au Batofar de Paris. Ceux qui ont fait leurs premiers pas scéniques aux côté de Fakear interpréteront un set créatif mêlant sublimement électro, hip hop, soul et jazz.

Chine Laroche venu présenter en live son EP, « On My Mind » se chargera de chauffer la salle et de faire vibrer l’assistance.

Laisse un commentaire ci-dessous pour tenter de remporter tes places pour et assiste peut-être à cette soirée de folie avec la personne de ton choix.