Si c’est la fin de la décennie pour tous et que 2020 s’est ouverte sur de nombreux top, cette année marque également la dixième bougie de la Machine du Moulin Rouge. Dix année de musique, de soirées, de clubbing, de fooding, de party-ing et de beaucoup de jolies choses en -ING.
Pour fêter ça la Machine met les petits plats dans les grands et propose non pas une mais six soirées de festivités, un peu comme dans les grands mariages en Inde. Au programme des expériences artistiques, des mélanges des arts et des souvenirs à se mettre dans la tête pour les dix prochaines années.
Pour se faire, la salle compte parer ses 2000 m2 et ses quatre étages de ses plus beaux atouts et offrir un programme des plus variés. A la Machine, on boit, on danse, on écoute, on découvre, on mange. Manger vous dites ? Oui puisque les célébrations s’ouvriront sur un événement complètement inédit, j’ai nommé un banquet.
Le 21 janvier: Banquet d’ouverture
Concocté avec SAGÍ, lieu food et bons vins qui nous vient de Perpignan, le Central deviendra une grande tablée sur laquelle le chef Yannick Ferez et ses acolytes cuisineront sous les yeux du public un menu à la sauce Catalane. Produits de saison, spécialités locales, vins raffinés, accompagneront un menu en un apéritif et 4 plats qui ne laissera pas pour autant de côté les végétariens. Le menu musical sera lui aussi qualitatif puisqu’il sera concocté par Azamat B et Aurèle. Tout un programme pour une soirée atypique et on ne peut plus festive. Les préventes sont disponibles ici pour 55 euros et devraient partir très vite.
Concerts et clubbing
Dès le 23 janvier, on passe aux concerts alors qu’il sera possible de s’offrir un bon cocktail au Bar à Bulles et de profiter du rooftop pour prendre l’air. Côté musique, on retrouvera sur scène un grand écart musical allant du jazz de Kamaal Williamsau rap belge de Blu Samu en passant par le live futuriste de Catnapp, il y en aura pour tous.
Les 24 et 25 janvier c’est soirées clubbing !
le premier soir retrouvez: KODE 9 / TEKI LATEX / CEM / BARKER (live) / CRYSTALLMESS / CARIN KELLY b2b BOB SLEIGH / CHRISTIAN COIFFURE. Entrée gratuite avant 23h30 puis 15 euros sur place.
Le second soir retrouvez: PLOY / BLACK ZONE MYTH CHANT (live) / THEO MULLER / PROMESSES / GIGSTA. Tout pareil pour le tarif pour passer une nuit complètement folle au Central et à la Chaufferie.
Enfin le 26 janvier, on finit les festivités sur de (très) beaux concerts qui rendront hommage au côté psychédéliques de la salle, à ses recoins punk, ses nomberux festivals arty ! Découvrez sur scène: BEAK> / ABSCHAUM / VOX LOW / MARIA VIOLENZA
Dans le cadre du Club 300 d’Allociné était projeté au Forum des Images 1917, la dernière réalisation de Sam Mendes (Skyfall, American Beauty, Les Sentiers de la Perdition)…
La fin de la décennie est arrivée et voici venue l’heure des bilans. Après notre top des 100 meilleurs albums des 10 dernières années, nous vous avons…
On le sait il est bien plus facile de rester chez soit à chiller sur Netflix que de se rendre en salles obscures, d’autant plus en période de grèves qui priveront certains amateurs du genre du PIFFF festival cette année. Pas de panique pour autant, si l’on fait le choix de rester dans son canapé. En effet, la plateforme en ligne qui, disons-le nous quand même a à son actif son lot de moyens ( voir très mauvais) films de genre et d’horreur ne manque pas pour autant de réserver quelques jolies pépites à ses abonnés. Voilà ceux qui ont su retenir l’attention de nos rédacteurs accrocs au cinéma d’horreur.
The Perfection
De: Richard Shepard
Décrié par certains pour son final grand guignolesque, The Perfection est pourtant une jolie pépite à découvrir sans attendre. Déjà pour ses nombreux retournements de situations qu’il serait indélicat de spoiler ici. Le film s’offre une direction grandiose qui saura ravir le spectateur dès ses premiers instants avant même de plonger dans son récit horrifique. Poke à la scène du duo au violoncelle et sa très jolie mise en perspective. Son premier act, basculement lent vers l’horreur mettra à mal tout spectateur doté d’une conscience et ne manque pas de prendre une direction aussi dérangeante que fascinante. Les acts qui suivent, puisque le film est ainsi découpé, s’offrent le luxe de traiter de sujets sérieux et actuels et jouent sur une perpétuelle montée en tension. Aussi éprouvant qu’un certain Martyrs ( attention sans en avoir la totale liberté créatrice), ce The Perfection s’avère être un vrai plaisir adressé à un public averti et ce jusque dans son jubilatoire dernière act et sa scène finale qui en aura choqué plus d’un. Est-ce grand guignolesque donc? Oui de façon assumée sans jamais tourner dans le ridicule, l’objet va loin et est loin d’être lisse. Une excellente nouvelle pour les amateurs de genre au cœurs bien accrochés qui auront en plus de plaisir de découvrir un sous-texte tant féministe que touchant à la liberté créatrice. Un What the fuck coloré et musical à ne pas laisser dans les toutes les mains en somme.
De quoi ça parle ? Le sens de la perfection qui anime deux génies de la musique, Charlotte et Elizabeth, va peu à peu les mener vers le chemin de l’opposition.
The Babysitter
De : McG
Sexy à souhait, drôle, gore et complètement barré, The Babysitter est la promesse d’un beau moment de cinéma d’épouvante et s’inscrit dans la veine des survivals décalés. A cela s’ajoute la présence d’enfants malins, clin d’œil heureux à la Stranger Things et aux années 90 tant dans le coup à l’heure actuelle. Pour ajouter au piment de ce joli petit moment de cinéma à déguster avec un gros saut de pop-corn c’est le réalisateur MCG à qui l’on doit le film Charli’s Angels qui s’est chargé de réaliser ce métrage sans prétention et bourré à bloc de pop culture.
De quoi ça parle ? Une soirée de babysitting tourne au cauchemar quand un garçon tente d’espionner la jeune femme chargée de le garder.
The Witch
De : Robert Eggers
Adulé, novateur, The Witch a su s’attirer la sympathie d’un public varié amateur ou non de cinéma de genre. Sans pour autant être la merveille qu’on a pu en dire, cette œuvre complexe joue sur une réalisation parfaite pour séduire. La photographie y est bluffante tout comme le casting qui compte à son actif la jeune Ana Joy Taylor. Vous en garderez en tête des scènes puissantes, aussi belles et froides que des tableaux de maîtres et l’image inoubliable d’un certain corbeaux…
De quoi ça parle ? 1630, en Nouvelle-Angleterre. William et Katherine, un couple dévot, s’établit à la limite de la civilisation, menant une vie pieuse avec leurs cinq enfants et cultivant leur lopin de terre au milieu d’une étendue encore sauvage. La mystérieuse disparition de leur nouveau-né et la perte soudaine de leurs récoltes vont rapidement les amener à se dresser les uns contre les autres…
Final Girl
De : Tyler Shields
Fini de jouer avec les clichés. Si le cinéma d’épouvante a toujours mis à son affiche des héroïnes puissantes et des victimes féminines souvent dans la caricature, ici la victime se transforme rapidement en héroïne. Bien orchestré, libérateur et fun ce Final Girl s’avère être un bon petit moment de cinéma qui joue avec les codes du Petit Chaperon Rouge versus le grand méchant loup. Sans être pour autant inoubliable, le métrage joue son rôle d’honnête divertissement et colle en plus à son affiche la jolie Abigail Breslin.
De quoi ça parle ? Nouvelle au lycée, Veronica est une fille timide et vulnérable. Elle semble être la cible parfaite d’une bande d’adolescents, qui attirent les filles pour les chasser et les tuer. La règle est simple : la chasse commence quand Veronica est lâchée dans les bois avec trois minutes d’avance. Ce que les garçons ignorent, c’est que Veronica est un assassin en formation, et elle a choisi de tuer ces garçons pour son test final…
Jessie
de: Mike Flanagan
Production Netflix par excellence: l’adaptation (encore une?) du roman de Stephen King, Jessie, s’avère être une réussite totale. Un pari risqué tant le roman était complexe, blindé de réflexions sur le consentement ( on est en plein dans l’actualité) et de quêtes intérieures. Topo, le résultat est très fidèle à l’esprit de sa source d’inspiration et évite tous les pièges qui lui étaient tendus. Un thriller psychologique qui comporte pourtant une scène d’une grande violence à ne pas laisser entre toutes les mains ( il y a ici un jeu de mots mais tu verras plus tard). A noter que le film est réalisé par l’excellent Mike Flanagan à qui l’on doit un autre moment d’épouvante sur Netflix, The Haunting of Hill House, à ajouter absolument à sa liste de lecture.
De quoi ça parle ? Quand le jeu coquin de son mari tourne mal, Jessie, menottée au lit d’un chalet isolé, affronte d’étranges visions, de sombres secrets et un terrible dilemme.
Le Rituel
De : David Bruckner
C’est au réalisateur de The Signal et de V/H/S que l’on doit Le Rituel, une production Netflix fortement inspirée par Le Projet Blair Witch et les contes scandinaves. De fait, sa mise en place, glaciale, la beauté de son cadre, la mise en relief de ses personnages font de ce Rituel une plaisante production Netflix. Il y est question de deuil, d’amitié mais surtout de crise de la masculinité, d’éloignement avec l’âge, de la vie amicale qui s’effrite avec le temps. En outre sa montée en tension permettra de vous tenir éveiller et de piquer à vif votre intérêt jusqu’à un final complexe, bien qu’imparfait, permettant au moins aux plus curieux de théoriser sans fin.
De quoi ça parle ? Un groupe d’amis se réunit pour une randonnée en forêt, mais une présence menaçante s’y cache et les suis…
The Neon Demon
De: Nicolas Winding Refn
Poursuivons avec l’excellent « Neon Demon » qui a beaucoup fait parler de lui. Bien que, je vous l’accorde cette fable contemporaine ne soit pas à proprement parler un « film d’horreur », certaines de ses scènes et l’algorithme Netflix lui valent néanmoins sa place dans ce classement. Après tout, l’horreur doit déranger autant que faire peur. Avec une photographie absolument sublime, une mise en scène magistrale, un sens du luxe et de esthétisme rarement vu, Neon Demon n’en oublie pas de déranger et d’interpeller. Le film a en plus l’avantage de sublimer Ella Fanning, la rendant belle à croquer et chose rare, donnant une véritable crédibilité à cette femme parfaite et ce sans avoir besoin pour autant de le faire dire en continue par ses personnages. Une réussite savamment orchestrée et bourrée de pistes de réflexion. A voir plusieurs fois.
De quoi ça parle ? Une jeune fille débarque à Los Angeles. Son rêve est de devenir mannequin. Son ascension fulgurante et sa pureté suscitent jalousies et convoitises. Certaines filles s’inclinent devant elle, d’autres sont prêtes à tout pour lui voler sa beauté.
The Invitation
De : Karyn Kusama
Avec sa montée en puissance qui va crescendo, The Invitation se révèle être un excellent thriller en huis-clos, captivant et jusqu’au-boutiste. Intriguant dans son premier act, il réussi le pari de voiler ses intentions pour mieux les dévoiler dans son tout dernier act. Intriguant, sombre, poussant sa psychologie des personnages, il a su capter l’attention des fans du genre qui se rejoignent dans son éloge. A ne pas manquer!
De quoi ça parle ? Par une sombre nuit, Will est invité à un dîner chez son ex-femme et son nouveau mari. Au cours de la soirée, il s’aperçoit que ses hôtes ont d’inquiétantes intentions envers leurs invités.
Mom and Dad
De : Brian Taylor
Avec Nicolas Cage et Selma Blair à son affiche ce Mom and Dad s’offre un scénario délirant et jusque là peu exploité: celui des parents se retournant contre leurs enfants. L’inverse en revanche, l’enfant contaminé s’avère un sujet bien plus récurent dans le domaine de l’horreur avec pour n’en citer qu’un, l’excellent « The Children » en tête de liste. Ici loin de simplement se focaliser sur l’horreur, le métrage s’aventure vers des réflexions sur le rôle du parent, le temps qui passe, la crainte de grandir et le reflet de tous ces sentiments dans le regard que porte le parent sur sa progéniture. En outre, le fun est de la partie. Le film s’avère être un honnête divertissement, plaisant à regarder, portant à l’écran ses pistes de réflexion et se hisse ainsi dans notre top.
De quoi ça parle ? Des enfants doivent survivre par eux-mêmes à une hystérie collective aux origines inconnues incitant les parents à se retourner violemment contre leur progéniture.
Le Bon Apôtre
De: Gareth Evans
Si son pitch n’est pas sans rappeler celui de The Wicker Man, une enquête, une île, une secte, Le Bon Apôtre n’en est pas moins diablement efficace et est loin de simplement copier son aîné. Musclé, sombre et fascinant il n’a de cesse de surprendre le spectateur à travers ses nombreux rebondissements. De plus, cette pellicule propose une fine analyse de la religion. Violence et choix audacieux viennent parfaire cette œuvre captivante qui risque d’en dérouter plus d’un.
De quoi ça parle ?Un homme se rend sur une île lointaine à la recherche de sa soeur, kidnappée par une dangereuse secte.
Krampus
De : Michael Dougherty
Les fêtes de noël approchent et il est grand temps de rappeler que guimauves et paillettes ne sont pas les seules à avoir leur place sur le petit écran pour parler de cette soirée familiale. En jouant sur des codes tout aussi horrifique que déjantés, sans oublier d’avoir un esprit bon enfant à la Grimlins, Krampus est un véritable plaisir festif à déguster en ne manquant pas de jeter un œil au sapin qui clignote dans le salon. De quoi devenir un classique bien différent des traditionnels Love Actually et autre A Christmas Prince.
De quoi ça parle ? Quand Max voit sa famille peu exemplaire se disputer à l’approche de Noël, le garçon décide d’ignorer la célébration, sans se rendre compte que ce manquement à la tradition va provoquer les foudres de Krampus, un démon ancestral bien décidé à punir les réfractaires. La situation tourne en enfer quand les figures de Noël prennent monstrueusement vie, lançant l’assaut sur la maison de Max et forçant les membres de sa famille à s’entraider s’ils espèrent sauver leur peau.
Contracted
De : Eric England
Prenant à contre courant les traditionnels films de zombies et d’épidémies, Contracted suit la décomposition de son héroïne jusque dans ses plus glauques aspects. Le rejet de son entourage, la décomposition de sa vie vont de pair avec ce corps qui pourri sont tant d’éléments qui mettent à mal le spectateur ici au cœur de l’action. L’occasion donc de découvrir un film profondément marquant abordant tour à tour la question de l’apparence, de l’agression sexuelle et de l’isolement social. Dérangeant, intimiste, viscérale , un film qui fait réfléchir et laisse longtemps son empreinte.
De quoi ça parle ?Après avoir passé la nuit avec un inconnu, Samantha ressent des troubles inexpliqués. Son corps se décharne, ses ongles s’arrachent… Mais qui est l’homme qui l’a contaminé ?
Yadam C’est face à une salle en configuration assise que Yadam ouvre les festivités. Le chanteur vénézuélien, finaliste de la Nouvelle Star est accompagné d’un guitariste également en…
Leif Vollebekk En solo, c’est l’excellent Leif Vollebekk qui a la lourde tâche d’ouvrir la soirée. Il convainc immédiatement un Trianon de Paris plein à craquer. Il lui…
Le vendredi 22 novembre, Tasty Freaks posait ses valises au Bus Palladium de Paris pour présenter son 3ème EP « Wake Up Call ». Véritable groupe de scène, le sympathique combo, programmé en deuxième moitié de soirée comptait bien faire danser une salle déjà bien remplie.
Il est d’ailleurs l’heure de se réveiller, bien que la nuit soit complètement tombée sur Pigalle ce vendredi soir, puisque le trio masculin débarque sur scène, un brin en retard. Il se rattrape vite grâce à un nouveau titre pêchu, Wake Up Call comme l’EP, porté par une ligne de basse puissante et une batterie obsédante. La salle rock parisienne par excellence reprend alors ses lettres de noblesses. « Je veux que vous sache que j’ai du mal à m’exprimer sur scène» ironise avec des fautes volontaires Julien, le front man barbu avant de parler de son live à Cergy cinq jours plus tôt et de le mettre en compétition avec sa date parisienne. Le Bus Palladium sera-t-il à la hauteur ? Mais certainement répond a l’unisson une foule déjà captivée.
Côté public ça sent bon le rock que ce soit dans les tenues et les looks, dans les danses frénétiques, le sol recouvert d’alcool qui colle à chaque pas, ou les affiches de Nirvana accrochées aux murs. Le groupe lui emprunte ces codes pour mieux les attribuer au funk, l’âme des Red Hot Chili Peppers plane sur les compositions présentées. Si les couplets pourraient évoquer un Maroon 5 dopé aurock’n’roll, les refrains eux décollent savamment, se font entêtants, osent repousser les frontières.
Chez Tasty Freaks les instruments ont du goût, il s’entendent, vivent. Tout comme ce trio qui fait la part belle à chacun de ses membres. En anglais dans le texte, la voix suave du frontman vibre et fait danser. Nos musiciens et copains se donnent la réplique, se font face pour faire sonner leurs instruments. Trois EP d’âge ce n’est pas rien, d’ailleurs la complicité de nos acolytes saute d’emblée aux yeux. La chaleur monte d’un cran et le groupe invite le public à s’accroupir pour mieux sauter. Encore une fois le dialogue entre les instruments, la justesse de leurs échanges, véritable marque de fabrique du groupe est de la partie. S’il est habituel de faire la part belle à la guitare, ici les codes sont cassés puisque les rythmiques prennent l’ascendant. Quelques mots chuchotés presque parlés donnent une dimension moderne au live. Pourtant les techniciens ne lésinent pas sur un accompagnement à la voix grave pour étayer leur registre.
Une prise de température s’impose « Et sinon le bus ça va toujours? » « Oui!!!!» « A poil !» osent certains. A poil tu dis? Et tu savais que les Red Hot Chili Peppers finissaient leurs premiers concerts nus? Anecdote tu dis ? Du tout puisque au-delà d’être une simple source d’inspiration, les compositeurs de Don’t Stop habitent notre trio qui subliment cette référence. Sur scène cette patte s’entend, dans les mélodies et les rythmes, dans les interactions et la bonne humeur. Et ce, même si les musiciens restent habillés. Habitée ( et habillée également) la foule tape frénétiquement dans ses mains et se soumet volontiers lorsqu’elle est invitée à chanter. La bonne humeur est de rigueur, d’ailleurs l’avant-scène est prise d’assaut. Le batteur propose alors de diviser la fosse en deux pour tester ses performances vocales à droite puis à gauche. Les notes sucrées se font alors groovies.
C’est dans cet état de torpeur qu’il faut se dire au revoir. Gonflé à bloc, emprunt d’une énergie qui lui a été transmise, le public est prêt à danser toute la nuit. Après tout un vendredi soir à Pigalle, c’est à 22 heures que les esprits s’échauffent et que les choses sérieuses commencent. Et Tasty Freaks est la mise en bouche parfaite pour débuter une nuit de folie.
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Découverts lors du tremplin Zebrock 2018, Le duo La Vague est un tourbillon mêlant habilement rock, pop, hip hop et influences orientales. Le sympathique groupe annonce son nouvel…
Jeu Concours. Le festival les Aventuriers revient du 11 au 20 décembre 2019. Au programme et comme chaque année de la découverte, de la qualité, des talents montants, des concerts, des tables rondes, du cinéma et une création signée Richard Kolinka ( Téléphone / Les Insus), parrain du festival.
L’événement de Fontenay-sous-Bois fêtera ainsi ses 15 ans d’existence en grande pompe. S’il s’inscrit comme immanquable dans le paysage des festivals français c’est aussi par son audace et son sens aigu de la découverte. Parmi ceux qui ont foulé ses planches on retrouve des pointures de M à Miossec en passant par La Grande Sophie, Cali, Jean-Louis Aubert, Alain Bashung, Naive New Beaters, Le Prince Miiaou, Isaac Delusion ou même Louise Attaque. Autant de gages de qualité qui promettent que la programmation de cette édition 2019 fera elle-aussi longtemps parler d’elle: de Normcore, qui faisait d’ailleurs partie de notre sélection d’artistes rock à suivre à La Chica, l’excellente Suzanne, les talentueux MNNQS,La Fraîcheur et Leonard de Leonard, le festival promet une affiche éclectique.
Et si l’éclectisme, tu en as fait quand tu était jeune mais que tu n’es pas contre si on te paye le voyage ( oui , on fait des références aux Inconnus maintenant voilà)- sache que ça tombe bien. Pop&Shot est fier d’être partenaire de cette édition 2019 et t’offre tes places pour deux soirées d’exception.
Prêt? Voilà ce qu’on te propose, tu mets un commentaire ci-dessous pour nous dire que tu veux participer et la date qui te donne envie entre les deux choix ci-dessous. Si tu es sélectionné(e) tu remportes deux places pour aller faire de belles découvertes avec qui tu veux.
Aussi, si tu ne vis pas à Fontenay-sous-Bois, pas de panique. Une navette GRATUITE en provenance de la place de la Nation à Paris est à ta disposition pour te rendre sur place.
Places à Gagner
Deux places à gagner pour la soirée du samedi 14 décembre avec les concerts d’Estelle Meyer, Irène Dresel, DJEDJOTRONIC, La Fraîcheur et Leonard de Leonard ainsi qu’une table ronde: l’épopée des Aventuriers.
Deux places à gagner pour la soirée du 17 décembre avec La Chica et Suzane.
La playlist alcoolisée est arrivée! La musique enivre, s’écoute parfois ivre, est occasionnellement composée de la même façon et de fait, sait parler d’ébriété de bien des manières.…
Attention, coup de coeur, découverts au Crossroads Festival de Roubaix 2019, KosmoSuna débarquent avec un premier EP atypique « Théiaphée part 1 ». Les sympathiques frangins Alexis et Lucien y…