Le beau gosse New-yorkais, Tor Miller publiera sa première galette « American English » à la fin du mois de septembre 2016. Les premiers pas d’un artiste indie pop dont tout le monde parlera à coup sûr dans les mois à venir.

Retenez bien son nom. Le ras de marais Tor Miller débarque en effet des les bacs le 30 septembre 2016 avec un premier opus « American English ». Le beau gosse a d’ailleurs bien plus à offrir qu’une gueule d’ange digne d’un quaterback dans les teen movies américains.

Avec sa voix de velours le new-yorkais âgé de seulement 22 ans propose des compositions alliant pop et sons de crooners old school.

A travers ses mélodies, on reconnaît sans difficultés la patte de ceux qui l’ont bercé, allant d’Elton John à David Bowie. C’est là que la magie opère puisque le prodige du piano s’amuse à nous promener entre indie pop et des mélodies de crooner.

Avec ses premiers singles « Baby Blue », ou encore le magistral « Surrender » qui ouvre l’album ou encore l’américain a déjà su s’attirer les faveurs du public. Un premier showcase en juin 2016 lui avait permis de se produire pour la première fois en France face à un groupe d’initiés. Il faut dire que le jeune homme excelle en live. Face à son sourire une imagine aisément une troupe de fans l’attendant de pied ferme devant ses salles de concert. Dès qu’il entame ses premières notes, on pari sur lui pour une longue carrière. Là où l’album, un brin trop produit dénature le timbre de ce futur grand monsieur, le live lui permet de pousser la voix et de partir à la conquête du plus récalcitrant des spectateurs. Pas étonnant de le retrouver en amont de la sortie de sa galette porté sur un piédestal.

Entre les clips de « Carter & Cash », « Surrender » et « Midnight », Tor Miller a su donner à sa musique une énergie rétro. Reste à attendre l’annonce de concerts en France qui lui permettront de séduire sans en douter l’hexagone.

Pour patienter, on se contentera d’écouter en boucle « American English » dès le 30 septembre 2016.

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